A l’auteur de l’article.
Je confirme qu’en Iran, l’apostasie est punie de prison et les familles sont harcelées et persécutées afin de fait pression sur les convertis.
1) Vahid Hakkani , condamné ainsi que trois autres chrétiens convertis plus de trente mois de prison pour avoir embrasser la religion chrétienne. Il entame actuellement une grève de la faim. Son état ayant empiré, il vient d’être transféré à l’hôpital Faghihi de Shiraz, dans le sud- ouest de l’Iran.
2) Le tribunal révolutionnaire de Shiraz a condamné trois convertis a trois ans et huit mois de prison. Mojtaba Seyyed-Alaedin Hossein- Homayoun Shokouhi-Mohammad-Reza Partoei (Koorosh). Les deux premiers écopent en + huit mois de prison supplémentaires.
3) Deux autres convertis chrétiens , Farida Nazemina et son fils âgé de 17 Nima Shokouhi ont été condamnés à deux ans de prison. Les motifs de ces condamnations sont participation à des « églises à la maison » propagation du christianisme , contacts avec des ministres religieux étrangers , propagation contre le régime et atteintes à la sécurité nationale.
Si l’Iran se distingue par sa sévérité d’autres pays arabo-musulmans ne sont pas moins implacables envers les convertis.
En Algérie :
Bien qu’il ne présente aucun symptôme de trouble dépressif ou de maladie mentale Masun ( un pseudo) , un jeune, vivant au nord de l’Algérie, a été forcé par ses parents à se faire soigner chez un psychiatre. La raison ? Sa conversion au christianisme << Lorsque mes parents ont appris que je me suis converti au christianisme, raconte-t-il, Ils ont cru que j’avais perdu la raison. Pour eux , il faut être totalement malade et fou pour quitter l’islam , la religion des ancêtres et embrasser la foi des mécréants. Bien que jeune, le converti est déterminé à rester chrétien , malgré la pression et les appels de la famille.
Devant son obstination , ses parents l’ont emmené de force chez un psychiatre . Le médecin lui prescrit un traitement : des antidépresseurs pour « soigner » sa conversion au christianisme.
Cela rappelle le système carcéral psychiatrique de l’Union soviétique contre les opposants.
Les gouvernements Occidentaux , habillaient des droits de l’hommistes pour secourir , les flux migratoires de + en + plus fuyant leurs pays à 99% musulmans, pour venir se réfugiés dans les pays occidentaux qu’ils haïssent .Oublient la situation des Chrétiens dans les pays arabo-musulmans, persécutés, brimés, tourmentés, les femmes subissant des violes et des filles enlevées pour mariages forcés. Les chrétiens sont les plus persécutés dans le monde dont + de 85% dans les pays arabo-musulmans , ceux qui pratiquent la religion de la « Paix et d’amour ».
Comme réponse à l’arabo-musulman , « Tu veux ma photo » voici un article qui doit le réveiller de son sommeil. On reconnait un arbre a son fruit. Le fruit de l’islam aujourd’hui est pourri. Le corps de l’islam est malade et vérolé, pas un centime n’échappe ;
« Il y’a des jours où je regrette d’être Arabe. Les jours où je me réveille devant le spectacle de gueules hirsutes prêtes à massacrer au nom d’Allah et où je m’endors avec le bruit des explosions diffusées sur fonds de versets coraniques . Les jours où je regarde des » Cadavres joncher les rues de Bagdad er de Beyrouth« de la faute des kamikazes ; où des Cheikhs manchots et aveugles s’arrogent le droit d’émettre des » fatwas« parce qu’ils sont pleins comme des outres de » haine et de sang« ; où je vois des petites filles , les unes courir protéger de leur corps leur mère qu’on lapide, et les autres revêtir la robe de mariée à l’âge de 9 ans.
Et puis ces jours où j’entends des mamans Chrétiennes confier en sanglotant que leur progéniture convertie à l’islam refuse de les toucher sous prétextes qu’elles sont impures. Quand j’entends pleurer ce père musulmans parce qu’il ne sait pas pourquoi son garçon est allé se faire tuer en Syrie. Â l’heure où celui-ci parade dans les faubourgs d’Alep, kalachnikov en bandoulière, en attendant de se repaître d’une gamine venue de la banlieue de Tunis ou de Londres ; a qui l’on a fait croire que le viol est un laisser-passer pour le Paradis.
Ces jours où je vois les Bill Gates dépenser leur argent pour les petits Africains et les François Pinault pour les artistes de leur continent , tandis que les Cheikhs du Golfe dilapident leur fortune dans les casinos et les maisons de charme et qu’il ne vient pas à l’idée des Nababs du Magreb de penser au chômeur qui crève la faim, au poète qui vit en clandestin , à l’artiste qui n’a pas de quoi s’acheter un pinceau. Et tous ces » Croyants « qui se prennent pour les inventeurs de la poudre alors qu’ils ne savent pas nouer une cravate , et je ne parle pas de leur incapacité à fabriquer une tablette ou une voiture. Les mêmes qui dénombre les miracles de la science dans le Coran et sont dénués du plus petit savoir capable de faire reculer les » Maladies« . Non ! L’Occident, ces prêcheurs pleins d’arrogance le vomissent, biens qu’ils ne puissent pas se passer de ses portables, de ses médicaments, de ses progrès en tous genres.
Et la cacophonies de ses » révolutions« qui tombent entre les mains obscurantistes comme le fruit de l’arbre. ces islamistes qui parlent de démocraties et n’en croient pas un mot, qui clament le » respect des femmes « et les » traitent en esclaves« . Et ces gourdes qui se voilent et se courbent au lieu de flairer le piège , qui revendique le statut de coépouse, de complémentaire, de moins que rien ! Et ces » Niqabées « , qui en Europe, prennent un malin plaisir de choquer le bon Gaulois ou le bon Belge comme si c’était une prouesse de sortir en » SCAPHANDRIER« ! Comme si c’était une manière de grandir » l’islam" que de le présenter dans ses atours les plus rétrogrades
Ces jours enfin , où je cherche le salut et ne trouve nulle part, même pas auprès d’une élite intellectuelle arabe qui sévit sur les antennes et ignore le terrain, qui vitupère le jour et finit dans les bars la nuit , qui parle principes et se vend pour une poignée de dollars, qui fait du bruit et qui ne sert à Rien !
Voilà , c’était mon quart d’heure de colère contre les miens. Ouf !.
Fawzia Zouria , Jeune Afrique , du 2 mai 2014.