Très bon article de quelqu’un qui se donne la peine d’informer et d’avertir. Parce qu’évidemment on ne trouvera sûrement pas ce genre d’analyse dans Libé.
Entre parenthèse, la base d’un bon fonctionnement démocratique est une information juste et adaptée.
Le niveau de cet article voudrait que les commentaires soient à la hauteur.
La santé n’est pas un petit sujet et dans ce domaine comme dans d’autres, il faudrait justement que les gens se réveillent sur le vrais problèmes (comme ceux qui sont évoqués ici et qui dépassent la question de la médecine) et ne considèrent pas les dégâts que le système causent comme une évolution naturelle.
Ainsi la dégradation phénoménale des acquis de connaissances et de pratiques dans l’enseignement, due au laxisme doctrinal et aux problèmes multiples des familles à qui on donne un trop grand poids dans le cursus scolaire jusqu’au Bac [l’enseignement de l’ignorance comme dit J-C Michéa] est un produit du système et non une évolution normale. Parce que l’évolution naturelle serait ici qu’il faille plus de connaissances aujourd’hui pour gérer une famille, assumer son rôle de citoyen, faire son métier... en changer aussi d’ailleurs.
Il faut aussi relever la notion de démocratie mal digérée, c’est à dire l’extension du principe démocratique de l’égalité des droits, devant la Loi et pour les votes de la représentation nationale, à une égalité généralisée entre les personnes.
[Mais déjà, dans certaines consultations comme les sondages on fait la distinction entre des groupes de personnes suivant les compétences par exemple]
La réalité est qu’il y a des gens meilleurs que d’autres, plus intelligents, plus cultivés, plus courageux,... et qu’il faut en tenir compte ; Il vaut mieux être dirigé par les meilleurs que par des médiocres, voir des incompétents, comme c’est le cas avec notre gouvernment actuel à la suite du précédent d’ailleurs, qui va au-delà de la démission de notre monde politique devant le système.