Bien émouvant papier, empreint non seulement de nostalgie, mais aussi d’un brin de désespoir
Ben oui c’est fini, pu du tout comme avant .. ben oui les masses ont été rangées en troupeaux, le « peuple », qui n’existe plus, berné, piégé, aliéné, zombifié .. ben oui c’est le début de la panique .. Même les riches sont baisés, regardez la bourse, la finance, l’immobilier dans les jours qui viennent
Et dire que Isga s’entête encore à ses fantasmes de « démocratie » ! Au milieu de 100 000 milliards dette, dans une orgie planétaire où tous sont à la zumba, au foot, au spectron, aux vacances de rêve, au chacun pour soi, au sauve-qui-peut, à l’image, à la « culture », au spectacle, à l’illusion de la pérennité du ratelier ..
Vous n’allez pas assez loin dans votre analyse critique .. un exemple, vous dites : les transports un métier essentiel"
Les transports ? une activité essentielle au capitalisme oui, sans laquelle il n’aurait jamais dépassé l’exploitation au sang des enfants de 10 ans, sans laquelle la guerre de 300 ans n’aurait jamais pu exister ! Le progrès qu’ils disent, les capitalistes, les fascistes, les communistes .. quatsch
Chto dielat ? que faire demandait Tonton Lénine le Grand mandataire ..
Déserter, pu du tout collaborer, à la rigueur rester dealer .. pu du tout consommateur .. si on est encore jeune, si on veut agir pour sauver ce qui peut-être encore sauvé
Remarquez, le bastringue n’a ni besoin de vous, ni de moi, ni de Isga pour s’effondrer