...Les stigmates d’une « éducation nationale » décadente...
Des cadres de l’administration qui font n’importe quoi
Des enseignants (pour beaucoup) qui enseignent n’importe quoi et qui se fichent totalement de la réussite de leurs élèves, seule leur condition prévaut
Des enseignants qui répètent bêtement ce qu’ils ont appris de leurs profs (lesquels ont fait de même) parfois sans aucune psychologie
Des enseignants qui n’ont jamais mis les pieds dans une entreprise, ne sachant donc comment fonctionnent les structures censées recevoir les étudiants qu’ils doivent éduquer
Des programmes basés sur ce grand terme élitiste qu’est la « culture ». Cette dernière ne sert à rien si l’on explique pas comment s’en servir. Et quand on passe sa vie à l’école (de 3 à 60 ans), il semble effectivement difficile d’expliquer le ’’comment’’
Comment pourrait on avoir le culot de faire croire que la baisse générale du niveau est due à la baisse de capacité intellectuelle des élèves ?
Il faut tout simplement avoir l’honnêteté intellectuelle d’affirmer que la défaillance se situe bel et bien dans les rangs de l’éducation nationale. Une nébuleuse qui devient totalement inopérante et a qui, à travers ses puissants syndicats, les pouvoirs publics ont laissé beaucoup trop de pouvoir.
Et quand on sait que l’enseignement constitue les fondations d’une société, on peut alors être bougrement inquiet sur l’avenir de celle-ci.