Sixièmement, l’affirmation mensongère.
J’ai dit "le gauchisme est une catégorie de la gauche, comme le socialisme. Toute personne qui interprète les valeurs de gauche sont liées à la gauche."
Puis vous avez dit "j’ai pas terminé ma phrase j’ai dis que le gauchisme interprète foireusement le socialisme..."
Ce serait donc moi qui aurait mal compris et vous me reprenez.
Or, si nous remontons dans le dialogue, voilà ce qu’il en est :
Vous :"« j’ai dis que le gauchisme ce n’est pas la gauche, c’est un concept différent, les gauchistes c’est des gens qui interprètent les valeurs de la gauche et du socialisme. en fait tu es un ignare qui ne capte pas la différence entre socialisme et gauchisme. »
Moi : "Ouvre un dictionnaire : le gauchisme est une catégorie de la gauche, comme le socialisme. Toute personne qui interprète les valeurs de gauche sont liées à la gauche.
Dire des âneries ne change pas la réalité pour autant."
Vous : "j’ai pas terminé ma phrase j’ai dis que le gauchisme interprète foireusement le socialisme..."
Vous affirmez que le gauchisme n’est pas la gauche, je vous réponds, vous me répondez que vous n’avez pas fini. Il y a trois mensonges de votre part dans ce dialogue : le premier mensonge est celui où vous affirmez que la partie d’un tout ne fait pas partie de ce tout.
Le deuxième mensonge est que vous prenez pour excuse le fait de n’avoir pas terminé votre pensée dans la phrase précédente alors que ce fut bien le cas.
Le troisième mensonge est un mensonge par omission puisque vous affirmez sur une phrase au sens incomplet alors que ce n’était pas l’objet.
Du coup, c’est peut-être vous l’ignare et vous essayez de vous rattraper pour masquer votre inculture.
Septièmement, l’injure palliant l’insuffisance de l’argumentaire.
Voici ce que j’affirme : “« 2) Le problème c’est que ton énoncé ’la liberté libérale est parfois considérée à l’esclavage du capitalisme« ressemble à l’affirmation. ’la liberté c’est l’esclavage’. Au lieu de rapporter ce que pensent les autres, construis ton discours, ça sera déjà mieux. »”
Ce à quoi tu me réponds : “tu es stupide ma parole ? as tu capté dans ta cervelle de moineau que le libéralisme et d’autres idéologies font leur propre interprétation de la liberté et que l’interprétation/définition de la liberté par les libéraux est critiqué ?”
Tu voulais contrer cet argument : “c’est que ton énoncé ’la liberté libérale est parfois considérée à l’esclavage du capitalisme« ressemble à l’affirmation. ’la liberté c’est l’esclavage’.”
Tu l’as fait par l’insulte puis l’argument.
Voici pour l’insulte : “tu es stupide ma parole ? as tu capté dans ta cervelle de moineau”
Et l’argument : “le libéralisme et d’autres idéologies font leur propre interprétation de la liberté.”
Je parle, dans ce passage, du libéralisme. Vous le faites également mais vous ajouteez ’ d’autres idéologies’ pour appuyer vos dires. Je peux, moi aussi, ajouter des éléments dans mon argumentation de manière totalement incohérente, pour vouloir prouver que j’ai raison. Ce ne serait que chamailleries d’enfants.
Ainsi, vous ajoutez, supprimez, omettez ou réinterprétez mes propopos ou les vôtres.
Ce que vous affirmez n’a donc aucune valeur car cette valeur ne repose sur rien de tangible.
Huitièmement, la séparation illusion des chose.
Voilà un échantillon intéressant : “donc bien de nationalisme en parlant des banques mais selon ta logique.
Au passage, les barons de l’UMP et du PS affaiblissent aussi la Nation, donc la République affaiblit la Nation, toujours selon ta logique.«
rien à voir car l’umps est pour le NOM or toi tu affaiblis la nation car tu veux lui enlever ses pouvoirs par le régionalisme.”
Votre logique simpliste revient en force : comme j’affirme que des partis républicains affaiblissent la Nation, j’en conclus que la République affaiblit la Nation.
Vous me rétorquez qu’ils sont pour le NOM et que le régionalisme est le danger et pas la République qui n’existe plus de toute façon mais est la France. Donc la France n’existe plus si je suis votre logique aberrante.
Votre logique nous mène donc à une division :
1)La République est bonne mais n’existe plus.
2)Le régime actuel, qui a une forme républicaine, bosse pour le NOM.
Ainsi, nous aboutissons à la fois à une République disparue et une République fantôme. Dans ce cas, pourquoi parler de République, si la République n’existe plus et que les rites et les dogmes républicains servent le NOM ?
Nous ne sommes pas en physique quantique : soit la République continue d’exister, même avec des formes seules, soit elle n’existe plus même dans le nom. Mais elle ne peut pas être les deux.
Sinon c’est tomber dans la sacralité : la République c’est le Bien, le NOM c’est le mal, alors qu’ils agissent à travers un même instrument (République).
Or la République n’est pas divine, elle est faillible car c’est une société humaine. Il faut imaginer que la République est ce qu’en font les hommes et n’est pas parfaite.
01/07 18:32 - Marais
Bon, le collégien, j’ai dû mal m’expliquer, car tu n’as pas l’air de (...)
30/06 21:32 - Marais
Incroyable, mon petit collégien : tu ne comprends toujours pas ce que je te dis. Comment (...)
30/06 18:36 - Marais
« continues correction »Collégien se rectifier, bien. Cadeau : :-) :-) :-)
30/06 18:32 - Marais
Incroyable, je n’arrive pas à me faire comprendre à ce niveau. Serais-tu collégien, par (...)
30/06 15:53 - lsga
et dire que nanigogo, au lieu de lire et d’écrire des commentaires médiocres, pourrait se (...)
30/06 00:03 - Marais
Bon, mon petit lycéen, je me sens d’une humeur toujours charitable, mais vu que tu (...)
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