Chômage, pauvreté, inégalités,
pillage des ressources naturelles sont autant de maux contre lesquels
les politiques économiques et sociales des États, comme des
collectivités qui les composent, ne peuvent avoir de sens que si
sont pris en compte les fondamentaux de la démographie mondiale et
les problèmes de surpopulation qu’elle génère inexorablement, au
détriment d’une planète mutilée de toutes parts et par voie de
conséquence, des espèces qui la peuplent.
Quels que soient les indicateurs et
autres indices inventés ici ou là, au gré des idéologies
dominantes, si la pauvreté augmente, si les inégalités se
creusent, les raisons en sont avant tout l’augmentation considérable
de la population et celle de la richesse globale que cette même
population génère par son activité, avec l’aide du progrès ; le
partage de cette richesse étant une toute autre affaire.
Chaque jour, plus de 250 000 êtres
humains s’ajoutent à la population terrestre, qui devrait atteindre
9 milliards vers 2050 et dépasser 11 milliards au début du prochain
siècle. Par l’effet du sort qui les a fait naître ainsi ; produits
des taux de natalité les plus élevés, les pauvres qui représentent
la grande majorité (70%) de ces nouveaux arrivants vont s’ajouter à
ceux qui surpeuplent déjà la base atrophiée d’une pyramide sociale
dont le sommet s’élève par ailleurs inexorablement, accentuant
chaque jour les écarts qui y règnent. La croissance démographique
mondiale, en cherchant à répartir ses surcroîts de population
miséreuse partout où cela peut contribuer à les résorber, y
nourrit et accentue la pauvreté et les inégalités. Mécanisme
démographique à l’origine de tous nos maux, mais sujet tabou.
C’est par le contrôle de la
population, en luttant contre le surnombre, qu’il faut la combattre
les maux de la société, à commencer par la pauvreté ; le reste
suivra naturellement.
Pour approfondir cette réaction
: http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com