Merci pour ce genre d’articles iconoclastes. C’est toujours
amusant de voir, ensuite, la « meute » des prétendus progressistes bloqués
sur des « préjugés » pluriséculaires se déchaîner dans les
commentaires.
A partir de la Renaissance, il y a négation de la véritable intellectualité,
une volonté de faire venir à soi la « vérité » et non de se hisser
jusqu’à elle, par incidence une limitation de la connaissance à l’ordre le plus
inférieur qui consiste en une accumulation de détails insignifiants, de
connaissances relatives, d’avancées empiriques, d’hypothèses sans fondements
qui se détruisent les unes au contact des autres. Tout cela lié au fait qu’on ignore la
nature profonde des phénomènes étudiés. Sciences reliées à aucun
principe supérieur. L’expérimentalisme radical a pour fonction de confirmer des aprioris. Dans
cette « quête », l’homme ne fait que perpétuellement se rencontrer...il
tourne en rond dans un cosmos inerte qui ne porte plus aucun sens. La
seule réussite et
supériorité de la science moderne : les applications pratiques. La
philosophie bourgeoise du XVIIIes. dont se réclame le "socialisme
scientifique« (qui n’a encore » libéré" personne et, qui au passage,
s’est imprégné du mythe bourgeois du travail libérateur cher à ce céoène
de Voltaire incapable de comprendre Rousseau...Fasciste !
Réactionnaire ! xxxxxxx ! je les entends déjà gueuler....) puis le
positivisme n’ont donc fait qu’enterrer la recherche de
cette« vérité ». Personne ne peut dire aujourd’hui : « je sais ce qu’est
le »réel« »...Tout a été consumé par le feu de l’algébrisation comme
dirait J. E., l’aristocrate de l’esprit...Une science qui nie toute
verticalité et se limite à l’étude du
monde sensible par l’affirmation : tout ce qui ne peut être vu doit être
tu ou méprisé. Le voilà donc le véritable préjugé (accompagné d’un rejet
de tout
principe moral), qui n’appartient à aucune Église sauf celle des
matérialistes
bornés (bourgeois et marxistes, deux faces d’une même pièce). Préjugé qui retarde, voire empêche, la véritable progression de
l’humanité
sur le chemin de la délivrance et son retour à la « vraie vie ».
ça risque encore d’aboyer... ;—)