Je parlais de façon générale ; l’emploi de la 2nde personne du singulier n’est que style.
Un esclavage, qu’il soit doux ou âpre, est toujours un esclavage. L’objet naturel du cheval n’est ni de faire des tours de manège, ni d’être enfermé dans un pré. Qu’il soit bien traité ou non.
Un animal sauvage n’est pas libre. La tyrannie des instincts est quelque chose d’effroyable. C’est pour cela que bien des anarchistes sont naïfs.
En un mot, la Liberté en tant qu’absolu n’existe pas (contrairement à la licence qui implique autre chose ; le concept de licence, c’est : chaînes & permission). Comme liberté relative, on peut entendre une autre vriante : chaînes & transgression.)
En fait, comme je le dis, sur le plan abolu, il faut concevoir la Liberté autrement. Comme une sensation.
Je suis sûr que tu as déjà ressenti cette sensation dont je parle.