@ JL.
Deux (2) transformation sociales sont en progrès qui vont en parallèles a des vitesses differentes. La premiere est l’abandon par une majorité de la notion du mariage beni par Dieu et indissoluble. Cet abandon touchent les heteros... qui etaient les seuls mariés ! Une majorité d« entre eux cessent donc de se marier.... sauf comme prelude incontournabe a un contret de mariage, quand les questions patrimoniales sont importantes, souvent les plus importantes.
La seconde, c’est que les garanties legales, incluant les »questions patrimoniales importantes", auxquelles les homogames n’avaient pas acces, leur deveiennent maintenant accessibles. Beaucoup veulent en profiter...
Vous avez donc une illusion d’optique. Les heteros a 100% maries tendent vers un nouveau pourcentage ( 0 a 15%) correspondant à ceux qui ont un interet réel a le faire... alors que les homos passent de 0% au meme 10 a 15% correpondant a ceux qui y ont interet.. Ajouter diverses influences d’emotionm mais l’essentiel est dans cette convergenece dans 20 ans vers un 10 a 15 % de mariés dans les deux populations, homo et hetero games.
Je dis dans l’article : il est impossible de traiter de la même façon : a) une entente dont le but est de procréer et dont on s’attend à ce que les participants éduquent les enfants aux valeurs dominantes de la majorité... et b) et une entente dont le but est d’optimiser le bonheur de ceux qui veulent la conclure.
Ca devrait nous ramener a DEUX MARIAGES. Un mariage legal qui sera pur contrat ... et un autre affectif qui sera religieux ou en aura les signes exterieurs disstinctis, meme s’il est laique pour r.pondre a la demande de sacralisation.
PJCA