Le féminisme radical…
Le patriarcat en danger ?
On arrive à se faire peur avec ça ?
« • dans la famille ; satellisation des hommes loin de leurs enfants qu’ils ne voient pratiquement plus en pratique. »
Ha, ce ne serait par nécessité de gagner de l’argent (ou pour voir ailleurs si l’herbe est plus verte) que les hommes s’éloignent de leur famille, ce serait sous la pression féministe…
« • Dans les médias : disparition progressive du genre masculin ou, dans quelques années, sous prétexte de parité, seules les femmes seront autorisées à commenter le foot ou le cyclisme... »
Sais pas, rien à foutre, je ne regarde pas ces insanités télévisuelles.
« • et plus sérieusement dans tout le système éducatif, donc à terme, dans le système professionnel : Ainsi comme l’explique Bridelli dans cet article du point et d’après les statistiques mêmes de l’éducation nationale :pour les élèves en grande difficulté à la sortie du primaire, il y aurait :
- 30 % de garçons contre moins de 10 % pour les filles...
• l’analyse Pisa montre qu’en France l’écart de performance est passé, entre 2000 et 2012 de 29 à 44 points de différence en faveur des filles !
• 64 % des garçons et 76 % des filles d’une classe d’age ont le niveau bac,
• au niveau bac+2 on ne retrouve que 37 % de garçons contre 50,2 % des filles ;
• au niveau licence : 21 % des garçons, 32 % des filles…. »
Il y a peut-être là une influence féministe : les filles prenant plus au sérieux leurs études que les garçons, devenues consciente que si elles ne se battent pas, elles resteront au second rang. Mais il y a incontestablement une forte influence masculine (oserons-nous le mot ?) ou disons un héritage de notre culture essentiellement patriarcale : les garçons étant encore globalement assurés d’avoir au moins une fille à dominer, ils sont moins enclins à forcer.
On peut imaginer que cette compétition garçon/fille se soit développée. Je ne trouve pas ça bon du tout car la compétition est un gaspillage d’énergies. Mais peut-on en faire le reproche aux féminines ?