Ah ! C’est embêtant, hein ! Tu n’arrives plus à disposer d’animaux naïfs, qui ne connaissaient pas tes trucs et tes ruses... Tout fout le camp, m’ame Michu !
Dans le bon vieux temps, on parvenait à cacher aux peuples que Midas, le roi Midas, a des oreilles d’âne.
A présent, les brins d’herbe en informent les brins d’herbe, qui informent les arbres, qui informent toute la forêt, qui informe toute la contrée :
Le GIEC, le Gang Intergouvernemental, il est payé pour frauder et berner les peuples. Son problème, c’était de ne pas se faire pincer.
Les activités du GIEC relèvent du Tribunal Correctionnel : diffusion de nouvelles fausses, dans le but d’en tirer un profit.
L’IPCC (le même gang intergouvernemental, mais en anglais) a truandé les relevés de températures néo-zélandaises, et des météorologues néo-zélandais ont protesté.
Ils ont truandé les relevés de températures russes, et des météorologues russes ont protesté.
Ils ont truandé les relevés de températures scandinaves, et des météorologues scandinaves ont protesté.
Ils
ont truandé les relevés de températures rurales U.S. pour les calquer
sur les bulles thermiques des villes, et des météorologues U.S. ont
protesté.
Ils ont truandé des masses de statistiques, et ça a fini par se savoir.
Midas, le roi Midas...
Un syndicat de la fraude que cet Intergovernmental Pack of
Carbocentric Crooks, sous le contrôle de leurs corrupteurs en haut lieu. Deux d’entre eux, Jean Jouzel et Valérie Masson-Delmotte, candidats aux européennes du 25 mai, réclamaient « un milliard d’euros pour sauver le climat ».
Ayons deux fois plus de courage politique qu’eux : réclamons deux milliards d’euros pour une planète sans dihydrure d’oxygène !