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Commentaire de bakerstreet

sur Lettre ouverte d'un intellectuel juif à ses pairs (Alain Finkielkraut, André Glucksmann, Bernard-Henri Lévy, Elie Wiesel)


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bakerstreet bakerstreet 23 juillet 2014 13:40

Il est vrai que nous voici maintenant dans une période où il faut faire des efforts pour trouver des survivants de l’holocauste.


 Il faut donc justifier maintenant le hold-up, par la mémoire, la tribu...

L’allusion de l’auteur aux origines de son père n’est évidemment pas gratuite. Que nous dit il par là : Qu’il est plus fondé que les autres à avoir une opinion, et à placer l’origine, comme élément du discours et de l’argumentation. 

.Que chacun établisse son arbre généalogique, ce truc qui tient beaucoup plus de l’olivier que du chêne, tant il a des nœuds, et des racines profondes qui s’entrecroisent avec les autres), et à mon avis, on pourra tous se définir juif, apache, australopithèque, bantou...

Ce truc des pères et de la race est bien une abjection dont il est curieux d’entretenir le postulat à propos d’un article qu’on voudrait adresser à l’universel.

« L’intellectuel », comme monsieur Schiffer (est il apparenté avec l’actrice) en vertue de sa formation devrait savoir que toutes les terres là bas sont emprisonnés dans un réseau de fils entrecroisés qui les fait ressembler à un tissu Ecossais !

Le tissu Ecossais, voilà le drapeau de l’humanité.
Aucun espoir de salut si l’on continue à se battre pour des point de vue issues de la tribu préhistorique, alors que les glaces fondent aux pôles.

A quoi ça sert de raconter des fables et des contes aux gosses, si nous nous enfermons toujours dans un conte de Grimm !
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