Le veau d’or est une élucubration antisémite pour suggérer implicitement le mauvais Juif, l’adorateur d’argent, le rapace à nez crochu et à pattes crochues.
Le veau d’or, c’est très simplement le retour au culte précédent du peuple préjuif, avant que Moïse le grand truqueur ne vienne voler un peuple en effaçant son histoire et en trichant. Ce culte a à voir avec le totémisme, d’où la figure animale ; c’est d’ailleurs le point important de l’histoire, que l’idole ait été en or ou en bois ne change rien à l’affaire.
Et donc : il y a un culte précédent à l’escroquerie Iahvé, que l’on peut deviner à une ribambelle de versets genre ’C’est moi l’Elohim mais je fus révélé à Moïse sous le nom de Iahvé’ et cela signifie que Elohim n’est pas du tout Iahvé.
En second lieu, le peuple préjuif, avant que l’usurpateur Moïse ait foutu sa pogne sur lui, adorait ’le Fils’ (car le veau est l’Enfant, le petit de) et on devine que le Christ est en fait un Juif qui a eu accès à la VERITABLE histoire de ce peuple fabriqué que sont les Juifs.
En troisième lieu, à travers cette scène du veau d’or, on voit bien que c’est par la manipulation, la menace et la culpabilisation, que ce bon Moïse nique la populace.
On oubliera pas de dire que ce bon Moïse en bon manipulateur a érigé sa propre famille, étrangère donc, comme gardienne de la nouvelle aliénation en cours et a établi une morale servant à empêcher la critique et le démontage en règle de sa fiction (pas de réprésentation , un seul dieu tu ramperas devant lui, etc, etc).
Il y a même une scène in ze baillebeul où ce brave Moïse se rend chez someouane et rend hommage dans la tente avec son hôte à ce que l’on appelle des dieux-lares représentés par de petites figurines. Mais à ce moment du peplum cousu de fer blanc, le grand Moïse n’avait pas encore effacé toutes les traces.