Disons simplement que j’ai fait tout ce que j’ai pu pour ne pas en arriver aux noms d’oiseaux (j’ai gagné haut la main à ce petit jeu puéril que vous avez lancé. J’en attendais beaucoup plus de la part d’un type qui porte la barbe blanche.... )
En voyant votre photo, on vous prendrait pour un gentil père noël, avec lequel il serait facile d’engager un débat des plus sains ; ce serait vous donner le bon dieu sans confession, car finalement, vous répondez systématiquement à côté, et en plus vous insultez vos détracteurs. Je voulais simplement en savoir un peu plus sur votre idée, et dans le même temps, vous offrir la possibilité de la renforcer en la confrontant à des critique constructives qui se voulaient amicales dans un premier temps ; il semblerait malheureusement que vous ayez choisi la voie de l’agression...

« disons simplement que nous n’avons pas la même définition de « la mauvaise foi », et n’en parlons plus. »

« N’en parlons plus », voilà exactement les paroles qu’on pourrait attendre d’un dictateur. Monsieur papy a tranché, toute discussion est close.

Désolé l’ancêtre qui ne souffre pas la contradiction,je vais quand même relancer le sujet de la mauvaise foi sur le tapis :

-Ton lectorat n’existe que parce que tu exploites exactement les même ficelles que les zélites que tu prétends dénoncer : faire peur aux gens, et détourner leur peur à ton profit. La carotte et le bâton, tout ça dans la même main ; bien joué, belle preuve de mimétisme de base.

-T’as rien à répondre au fait que la tempête, à peine née, était connue pour ne pas du tout se diriger vers nous, et ne présentait donc absolument aucun danger pour nous. Exprime-toi sur le sujet, et voyons ce qui reste en tant que matière dans ton article... rien du tout ? c’est trop triste, tu ne fais que bêler bêtement ce que tes maîtres t’ordonnent de bêler, et en plus tu t’en rends même pas compte, tu crois que c’est ton libre arbitre qui t’a poussé à pondre ce truc 
 
Je m’arrête là, car je sais que je n’obtiendrais rien de mieux comme réponse, qu’une puérile pirouette.

Porte-toi bien, l’ancêtre ; Je te demande juste solennellement d’arrêter de me prendre pour un con. Si tu as quelque chose à me dire, commence donc par m’aligner deux ou trois phrases m’exposant la teneur de ton article une fois qu’on en a retiré tous les éléments qui sont là pour caresser le populo dans le sens du poil en générannt de la peur sans fondement et sans réflexion.