cela vient de paraitre :
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a récemment noté :
«
Nous avons déjà remis aux organisations internationales, l’ONU et
l’OSCE comprises, les données d’observation de la zone du crash. Nous
espérons que nos autres partenaires, qui évoquent depuis longtemps
l’existence de certaines autres données irréfutables, les présentent au
public d’une manière ouverte, sans alléguer leur caractère confidentiel
et secret. Seule la participation ouverte et honnête de tous ceux qui
possèdent des informations relatives à cette catastrophe peut être
reconnue normale. Le reste sera considéré comme des tentatives malhonnêtes pour influer sur l’enquête ».
L’unique
« preuve » présentée par le département d’Etat et les services secrets
ukrainiens ce sont quelques images étranges avec des dates effacées qui
font rire tous les médias. Pour que des preuves vraiment tangibles ne
soient pas découvertes, l’armée ukrainienne pilonne méthodiquement la
région du crash : les experts internationaux sont les gens comme les
autres et ne veulent pas se retrouver sous les bombes. En plus, l’expert
du Fonds des technologies conceptuelles Valéri Piakine signale que Kiev
ne montre à personne même les documents qui sont en sa possession :
«
Deux accidents se sont produits après le Boeing malaisien. Les
conversations avec les contrôleurs ont été publiées presqu’aussitôt.
Cela veut dire que les contrôleurs disposent des moyens de contrôle
objectif. Dans le cas de l’Ukraine rien n’a été publié. Pis encore, rien
n’a été présenté, excepté des mots ».
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