Ces activités sont gérées par l’armée, donc c’est une compagnie militaire de géo-ingénierie (je vous ai mis des liens en réponse à votre commentaire plus bas), bien discrète. Je ne vous apprends rien en vous disant qu’on ne sait pas grand chose des affaires de l’armée, si ?
Je n’ai pas besoin d’appareil, je me sers de mes yeux pour constater qu’il n’est pas normal que cinq avions ou plus volent côte à côte, se croisent, et font des demi-tours au-dessus de ma tête en laissant de grosses traces, alors que je vois d’autres avions passer qui n’en laissent parfois pas du tout ou une qui s’évapore derrière l’avion.
Se servir de son cerveau et de ses sens primaires, c’est utile vous savez, mais on a tendance à l’oublier dans un système où on laisse d’autres personnes penser et décider pour nous.
Pour ce qui est des moutons, si vous aviez lu moins vite vous auriez vu que je disais qu’ils pouvaient résulter de traînées de condensation (d’avions conventionnels donc), ce qui a été confirmé par Croa, votre fidèle informateur.
Pour ce qui est des traînées persistantes, j’affirme qu’elles sont chimiques parce qu’elles s’étendent et laissent un voile de fines particules au lieu de s’agglomérer et de créer un nuage de condensation comme le font les traînées de condensation.
De l’eau en si fines particules en basse altitude (2000 à 5000m) ne peut pas ne pas s’évaporer quand le temps est sec (comme pendant ce mois de juillet dans le Sud où on a eu un ciel voilé quasiment tous les jours).
C’est illogique selon les lois de la physique que Croa m’a énumérées quinze fois. Vous noterez d’ailleurs que quand je lui ai demandé si c’était physique comme phénomène (la condensation en si fines particules qui stagnent au lieu de s’évaporer à basse altitude), il a répondu qu’il n’avait jamais dit ça.
Donc puisque vous avez l’air de vous fier à lui, demandez-lui donc à quoi est du ce phénomène. Le problème, c’est qu’il ne pourra pas vous répondre puisque comme vous, il préfère se dire que ce ne sont que des fabulations et qu’il ne prend même pas la peine de se documenter un peu.