Tall,
Relis-moi... je ne parle pas d’utiliser le critère souffrance, je parle de décision. C’est la décisions qui entraîne la tendance à l’action et l’acte qui s’ensuit. C’est la décision que l’on prend en amont de l’action qui fait que nous sommes responsables ou non de l’acte posé.
Cette décision est-elle intentionnelle ou pulsionnelle ?
Cette question est primordiale parce que le droit pénal dit très clairement : « Il n’y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre. » (Premier alinéa de l’article 121-3 du Code pénal).
Si l’on suis ton raisonnement, nous devrions condamner toutes les personnes qui posent un acte « criminel », n’as-tu pas l’impression qu’en agissant ainsi on se rapproche du temps de la grande Inquisition ?
Je t’ai déjà posé la question, es-tu pour l’application de la loi du Talion ??? Si oui OK, y’a pas de problème. Tu viens d’éradiquer une partie de la problématique psychopathique. Mais il restera toujours ceux de la version « successful » qui sont ceux qui tirent vraiment les ficelles et qui construise une société à leur image. Mais peut-être es-tu d’accord avec tout ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Là encore OK, ça me pose pas de problème et je respecte... tout comme je respecte aussi ceux pour qui ça pose un réel problème et qui ont envie d’une vie meilleure sur terre.
Peut-être ai-je tort, peut-être est-ce un rêve de chimère, mais peut-être aussi que j’ai raison et dans ce cas pourquoi rester les bras croisés à ne rien faire si je sais qu’avec une meilleure compréhension des phénomènes en cause on améliorera les relations humaines ?
Pour la question de savoir si l’homme nait mauvais, je suis catégorique : l’être humain ne nait ni mauvais, ni prédateur. Je m’étonne que tu en doute encore après tous les échanges que nous avons eu sur le sujet.