• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Philippe VERGNES

sur Empathie, conscience morale et psychopathie – Une nouvelle conscience pour un monde en crise (partie 3/3)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Philippe VERGNES 24 août 2014 19:37

@ epicure,

Je me rend-compte de l’immense difficulté à suivre une conversation dès lors que le fil de discussion dépasse les 100 commentaires. Et encore qu’en tant qu’auteur je suis avantagé en recevant des mails d’avertissement pour chaque message posté sous mon article. Je répond donc ici à votre message de 18:29 (24/08) en réponse à Katherine.

La spécialiste que vous évoquez est Marie ANDERSEN. Elle évoque cette image dans son livre sur La manipulation ordinaire publié en 2010 (me demandez pas la page, ma mémoire s’arrête là ).

Son livre est excellent et si j’avais à le noter, je lui accorderais 5/5 sans broncher.

Toutefois, et cette critique ne dépassera pas le cadre de ce forum (c’est-à-dire que je ne relèverais pas ce point dans une critique publique telle que les sites Amazon, FNAC ou autres par exemple), Marie ANDERSEN a puisé aux sources de tous les auteurs ayant écrit sur la perversion narcissique, mais il lui manque la compréhension de la communication paradoxale et de la relation d’emprise. Ce qui n’empêche pas que son essai est très réussi. Autre point, elle méconnait la contre-manipulation. Ces deux points sont pour moi minime us égard des apports de cet ouvrage et cela n’enlève rien à sa valeur, car ce sont les deux points les plus sensibles sur lesquels très peu d’auteurs se sont réellement penchés.

@ Katherine,

J’ai bien peur que les difficultés à suivre une discussion dans les conditions décrites précédemment vous ai fait raté mon message à votre attention de ce matin à 8:24.

Si ce n’est pas le cas, j’essaierai de vous apportez un complément d’information, mais si je vous ai recopié les définitions de la perversion narcissique telles que données par son inventeur, c’est pour avoir une base de départ à partir de laquelle on peut développer.

@ Tall,

Bhein tu vois... il arrive que l’on soit obligé d’utiliser des mots pour désigner une chose qui pourtant ne convienne pas vraiment, mais cependant, il faut bien trouver un mot pour le faire. Dans ce sens « prédation » et « maladie » sont assez semblable : on les utilise faute de mieux.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès