@ Katherine,
Vous brûlez...
Nous sommes bien dans le cadre d’un trouble de l’identité... sans délire apparent. Certaines définition de la psychopathie que je reprends dans mon article Le match : psychopathes Vs pervers narcissique pourraient peut-être vous aider à y voir plus clair. Toutefois, ces définitions ne prennent pas en compte le trouble de l’identité du psychopathe. Pour cela, il faut se tourner vers d’autres approches (j’ai aussi écrit un article la-dessus dont je vous donnerais le lien si vous le souhaitais).
"Pour revenir à la définition on pourrait, au final, mettre la
psychopathologie entre la névrose et la psychose et au lieu d’utiliser
le terme borderline à une partie de cette population, l’utiliser pour la
population de psychopathes entière : PN et borderline ?«
C’est ce que beaucoup font, mais cela pose un problème, les borderlines ne sont dangereux que pour eux et les psychopathes sont principalement dangereux pour les autres. Par ailleurs, par ce biais, on élude le plus important qui est le mouvement pervers narcissique ou le processus psychopathique.
»Chez ces gens il y aurait du : sans l’autre, je n’existe pas, mais si je n’existe pas, l’autre n’existe pas vraiment non plus."
Bravo !!!
Vous commencez à saisir le paradoxe dans lequel se débattent les p.n.
Vous n’êtes vraiment pas très loin, mais ne perdez jamais de vue le
mouvement. Je n’ai fait que l’évoquer jusqu’à présent dans mes articles,
sans jamais le décrire complètement, c’est dans mes papiers pour un
futur projet d’article en essayant de développer la définition de
RACAMIER pour l’expliquer aux profanes.