hmmm...des chercheurs ont effectivement fait des recherches sur ce sujet, et ont donc démontré, objectivement et non subjectivement, cet effet vaudou et cette tendance néophrénologique...
Au hasard :
Les recherches existent, elles n’entrent simplement pas dans le paradigme imposé par l’Eglise Scientiste, qui occupant principalement les scènes idéologique et médiatique, fait que ces recherches généralement ne remontent jamais jusqu’à une audience plus mainstream, ou moins confidentielle que les scientifiques adoptant un scepticisme tout ce qu’il y a de plus scientifique (Lord en étant) avec le motto : trust but verify...pas de démagogie, ou de subjectivisme fanatique ici...Science, only science...
Plus largement, cela commence à avoir un impact considérable : renseignez-vous sur le dit « decline effect » : phénomène « étrange » qui fait que soit des expériences ne peuvent être reproduites, soit plus on les reproduits, moins les résultats confirment l’hypothèse initiale...problème étant lorsque ces recherches concernent des domaines tels que la pharma-psy, la médecine, la cancérologie, etc... i.e. avec des applications pratiques immédiates ou rapides (cas de molécules employées en psychiatrie puisque c’est un des sujets abordés ici...)