quel intérêt pouvons nous encore trouver à épiloguer sur l’appartenance du ps ou de Hollande aux idées progressistes, la comédia del arte de tel ou tel leader politique en vue
leurs idéologie et actions, relayées par une presse sous influence, ne s’affirment elles pas totalement soumises aux préceptes de la nouvelle idéologie globale, unipolaire, libérale-financière et belliciste
dans la trajectoire des engagements sarkozystes
l’emprise économique de la mondialisation, dans les faits le dernier ressort de la domination occidentale (concentration du capital financier, techno- scientifique, culturel) par la conquête de nouveaux espaces (militaire ou par le ralliement des élites locales, la sujétion des populations à l’hystérie consumériste) est un fait largement sous estimé
mondialisation dans laquelle s’inscrit parfaitement la stratégie de développement des majors nationales dont l’activité et les profits, si ce ne sont les sièges sociaux ou financiers sont depuis des décennies délocalissé sous des cieux favorables leurs intérêts
le paradoxe contemporain tient, d’une part dans les possibilités étendues d’information apportées par le web, illusion e liberté, et d’autre part le cynisme sans bornes affiché par la classe politique des prétendues démocratiques : duplicité, mensonges à répétition toute honte bue, soutien affiché à des régimes criminels, indifférence ou mépris de l’opinion publique et des populations
face auquel le classes laborieuses paraissent désemparée, et pour cause
il existe au moins une raison à cela, la distance séparant les élites locales de leurs homologues quelle que soit leurs origines ou nationalités est quasi inexistence en comparaison du fossé existant entre un csp+ et un prolo de la Creuse ou de Picardie dont, au mieux, personne ne se soucie,
sauf lorsqu’il constitue une menace.
Hollande est un signe précurseur, d’intensité modérée,
le meilleur reste à venir