Encore un zélateur d’Abou Bakr al-Baghdadi, qui espère voir le Califat englober prochainement l’Europe et même le monde ! Au diable, ces jihadistes en herbe et ces assassins en puissance.

Le Hamas fait partie de ces organisation terroristes qui ont exactement la même idéologie génocidaire que l’Etat islamique.
L’éradication du Hamas n’est désormais même plus plus l’affaire d’Israël. Elle s’inscrit dans une stratégie d’ensemble qui est en train de s’élaborer, visant à éliminer des barbares qu’on croirait sortis tout droit du VIIe siècle. Ils constituent pour le monde civilisé une menace qui ne sera pas tolérée plus longtemps.

Débarrassés du Hamas, les Gazaouis finiront par trouver, tout comme les Arabes de Judée et de Samarie, un modus vivendi qui leur permettra d’exister de se développer pacifiquement en coopération avec leur puissant voisin. Tous ces peuples habitent la région depuis des siècles. Les Juifs y étaient bien avant les autres. Tous ont les mêmes droits sur une région dont il ne s’agit que de partager harmonieusement les ressources. Quiconque parle d’exterminer une communauté au profit d’une autre rêve d’un nouveau crime contre l’humanité et ne devrait même pas être autorisé à s’exprimer sur ce site : voir la charte d’AgoraVox.
Et pourtant, depuis 1948 et même bien avant, les leaders des ethnies fort diverses qu’on a pris la funeste habitude de regrouper depuis 67 sous le terme « Palestiniens » n’ont jamais eu en commun qu’un objectif : exterminer les Juifs pour faire de la place. Politique du Lebensraum qui rappelle celle d’Adolf Hitler. Cela aura commencé dès l’époque de la Palestine mandataire, sous l’impulsion de Mohammed Amin el Husseini devenu mufti de Jérusalem grâce aux Anglais qui l’avaient imposé sans deviner qu’il haïrait les Juifs tout autant que les Anglais. Le bonhomme aura passé une grande partie de la guerre en Allemagne, faisant la cour à Hitler et devenant, pour mieux l’approcher un vrai copain de Heinrich Himmler, l’artisan de la solution finale. Il souhaitait vivement qu’on importât en Palestine le dispositif d’extermination. Ce sinistre individu n’est pas pour rien dans le développement de l’antisémitisme dans la région et dans la funeste décision des Arabes de déclarer la guerre dès le mois de mai 48, au lendemain de la création de l’état d’Israël. Beaucoup de « Palestiniens » ont alors quitté la région pour se mettre à l’abri en attendant que les armées arabes aient eu le temps de réaliser ce qu’on appellerait aujourd’hui un « nettoyage ethnique ». Mal leur en a pris : l’agresseur s’est trouvé très rapidement ratatiné comme le seront encore une fois les armées de Nasser en 67. Les Anglais, à l’époque de leur mandat sur la région, avaient pensé que les Juifs d’Europe émigrant dans cette région, très au fait des techniques les plus modernes, y apporteraient un savoir-faire qui profiterait à toutes les communautés. La même haine qui subsiste encore aujourd’hui aura privé ces populations d’un accès rapide à une modernité qu’elles auront délibérément refusée. Elles continueront à végéter et restent aujourd’hui encore très en retard, alors qu’Israêl est à la pointe de la recherche dans tous les domaines.
Ce qui se passe en Judée et en Samarie, depuis que l’OLP a renoncé à la violence, est assez encourageant. La seule solution, c’est que l’ensemble des Palestiniens gouvernés par l’Autorité palestinienne aient assez de réalisme pour se rendre compte des bénéfices qui découleraient nécessairement d’une réelle coopération avec Israël. Dans trente ans, s’ils avaient l’intelligence de le vouloir, Gaza pourrait commencer à ressembler à Tel Aviv-Jaffa.