En rapport un peu plus large, il faut bien constaté que notre civilisation est sur le déclin. Au niveau politique, alimentaire, financier, sanitaire, décadence morale et tout ce que vous voulez !
Même des chercheurs de la Nasa ont publié un article stipulant la fin de notre civilisation, c’est pourtant pas leur domaine.. !

Il faut voir que notre civilisation (mondiale) n’a jamais été aussi mal, je dirais qu’elle est dans un état de dépression nerveuse (tension, révolte, révolution, terrorisme, crise financière) comme elle ne l’a jamais été dans son histoire.

C’est pourtant simple a comprendre, et c’est un sujet banni de toute réflexion, voir tabou.
La DÉMOGRAPHIE est un fléau naturel, sachez qu’en 1960 la population mondiale était de 3 milliards d’individus, puis en 2000 de 6 milliards. Une étude a démontré que la population mondiale doublait tous les 38,5 ans. (on peu imaginé que sans cailloux dans l’engrenage, cela sera exponentiel)

Comment voulez vous que les problèmes de chômage et de logements soient résolues par telle ou telle politique ? Aucune.
Si la Terre est un appartement de 100m², que la population soit 4 résidents, que croyez vous qu’ils se passerait quand 8, 16, 32 personnes se retrouveront dans ce logement.. ?
L’homme est devenue tel un parasite, et beaucoup de politique ou d’élite ont les yeux et les idées rivés sur cet horizon.

On ne peu plus construire là où est tout est construit, on pense donc a refaire un cycle et penser a reconstruire pour une nouvelle « partie ».

Une guerre mondiale ? Mais c’est inéluctable bien sûr ! Quand on suit la géopolitique depuis quelques années, on se demande si les « états » ne s’essayent pas sur qui va commencé !
Irak, Afghanistan, printemps arabe, Syrie, Libye et maintenant Ukraine avec la Russie dans l’ombre. Dans tous ces pays, c’est le chaos, et pour la plupart pour de très longues années. « ca c’est fait ».
Qui seront les suivants ? car pour moi la 3éme ne partira pas de l’Ukraine, par contre les dérives de sanctions financières qui en ont débuté pourrait en être la première pierre.
(On sent quand même que les choses s’accélèrent)