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Commentaire de Fergus

sur Quand Valérie Trierweiler cède à la peoplisation de la vie publique


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Fergus Fergus 5 septembre 2014 09:46

Bonjour, Chapoutier.

Comme le dit avec justesse un proverbe « Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son » !

Car de quoi parle-t-on ? Du livre d’une femme blessée dans son orgueil et manifestement désireuse de se venger de l’humiliation qu’elle a subie. Or, cette femme se nomme Valérie Trierweiler. Celle-là même qui était assez largement détestée des Français en raison de sa perfidie.

Et il faudrait, au motif que Hollande mène, de manière choquante, une politique en rupture avec ses engagements, que l’on prenne pour argent comptant tout ce qui est écrit dans ces pages vengeresses, dans cette littérature de caniveau ? Autrement dit, croire en totalité les affirmations d’une femme qui décrit comme un monstre froid celui auprès duquel elle est restée 10 ans ? On marche sur la tête !

A l’évidence, Hollande n’est pas le type débonnaire dont on nous a brossé le portrait au fil des ans. Mais il n’est sans doute pas non plus l’homme vil que Valérie Trierweiler nous décrit avec sa plume fielleuse.


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