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Commentaire de eric

sur Valérie Trierweiler : La vengeance d'une courtisane répudiée


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eric 6 septembre 2014 09:20

Beaucoup de choses dans cet article :

D’abord les pauvres. On ne sait pas si Hollande les « adore » sincèrement, mais eux ne l’aiment pas.

 Le dernier sondage du NOBS http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20140906.OBS8373/sondage-nicolas-sarkozy-attendu-mais-pas-trop.html, le prouve de façon définitive.

On savait déjà que le FN est « le premier parti ouvrier de France ». En cumulant les deux, on pense à la blague de Coluche. « Les verts gagneront les élections le jour ou les arbres auront le droit de vote ».

De la même façon, si seuls les pauvres votaient, on aurait plus besoin de gauches.

Ensuite les prostituées. Parce que « courtisane », d’après le Larousse, c’est :

 Littéraire. Femme qui vend ses faveurs ; femme de mœurs légères, qui est d’une élégance distinguée et a des manières mondaines.

Or, le PS, les gauches, aujourd’hui, c’est « mariage des tous » et « criminalisation des clients » dans le cadre des « ABCD de l’égalité ». Que ce soit le dernier mot idéologique de la gauche socialiste est démontré par les promotions de Taubira et NVB dans le x ème gouvernement en deux ans et demi, de Hollande.
Pour tous le reste, entre détricotage et retricotage, on a le sentiment d’avoir affaire à des chaisières ou des dames pipi un peu désœuvrées. Mais en matière de « genre », quand les citoyens les chassent par la porte, ils re-rentrent par la fenêtre. Une pugnacité dont on aimerait les voir faire preuve dans la lutte contre le chômage, entre autre. Être à gauche, c’est être un « genre ».

Je laisse à l’auteur la responsabilité du terme dont il affuble l’ex concubine notoire puis, jetée, du président (juridiquement, c’est comme cela que cela s’appelle...).

Je doute peu que beaucoup de socialistes, sincères, mais qui n’ont pas bénéficié des ABCD dans leur jeunesse, n’aient réagit en leur for intèrieur en se disant, « quelle pute », ou « la salope ». « On avait pas besoin en plus qu’elle vienne répéter ce que pense notre président ». Il arrive en effet que l’inconsient parvienne à s’exprimer malgré l’auto-censure. On a déjà entendu cela quand la femme de ménage New Yorkaise à agressé sexuellement un apparachik socialiste.

Leur « sur-moi de gauche » finira, lui, par prendre le dessus.

Ainsi, les « pauvres », « les sans dents », les « bacs moins 4 », les « plus modestes », les « moins favorisés » - on se perd dans les termes variés utilisés par les gauche pour stigmatiser une partie des citoyens en en faisant autre chose que des gens comme les autres - ne vont pas baisser leurs culottes ou prendre la Bastille, ils vont contribuer plus qu’à leur tour à une alternance en forme de tsunami.

L’électorat de gauche lui, « sanctionnera le client ». Car si VT est une pute, alors c’est lui qui est coupable. Ou alors « être à gauche » ne voudrait vraiment plus rien dire....


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