@ l’auteur
Valérie Trierweiler est ce qu’elle est mais elle n’est pas la seule
journaliste à vouloir tourbillonner
autour des hommes de pouvoir.
N’oublions pas qu’ils ont été nombreux, les journalistes
carriéristes, à la sacrer « Première dame de France » parce qu’ils
savaient qu’elle était la plus récente maîtresse du président.
Ils l’ont imposée ainsi - avec
ce que ça comportait de prélèvements illégaux sur les impôts des citoyens
pour lui donner le train de vie de « Première dame » - sans demander la
moindre cérémonie officielle où François l’aurait présentée comme sa durable
compagne, parce qu’ils tenaient à
s’installer eux-mêmes en bonne place dans le n’importe quoi devenu très
officiellement le socialisme à la française.
Peu de temps après, ces mêmes journalistes carriéristes ont approuvé
la suppression du mariage et son remplacement par un machin du même nom qui
permettra aux homosexuels totalitaires de se faire livrer des enfants en
supprimant l’un des deux parents. Et cela malgré une immense protestation de la
population.
Et pire encore selon moi : ces journalistes carriéristes n’arrêtent
pas, depuis des années, de répéter que l’islamophilie doit devenir obligatoire
et l’islamophobie considérée comme un racisme, une xénophobie, une haine de
l’autre parce qu’il est différent.
C’est aussi dans les
médias que le n’importe quoi est devenu, en Sarkhollandie, une écoeurante
valeur de remplacement des acquis démocratiques et républicains.