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Commentaire de Pierre Régnier

sur Valérie Trierweiler : La vengeance d'une courtisane répudiée


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Pierre Régnier Pierre Régnier 6 septembre 2014 17:51

@ l’auteur

 

Valérie Trierweiler est ce qu’elle est mais elle n’est pas la seule journaliste à vouloir tourbillonner autour des hommes de pouvoir.

 

N’oublions pas qu’ils ont été nombreux, les journalistes carriéristes, à la sacrer « Première dame de France » parce qu’ils savaient qu’elle était la plus récente maîtresse du président.

 

Ils l’ont imposée ainsi - avec ce que ça comportait de prélèvements illégaux sur les impôts des citoyens pour lui donner le train de vie de « Première dame » - sans demander la moindre cérémonie officielle où François l’aurait présentée comme sa durable compagne, parce qu’ils tenaient à s’installer eux-mêmes en bonne place dans le n’importe quoi devenu très officiellement le socialisme à la française.

 

Peu de temps après, ces mêmes journalistes carriéristes ont approuvé la suppression du mariage et son remplacement par un machin du même nom qui permettra aux homosexuels totalitaires de se faire livrer des enfants en supprimant l’un des deux parents. Et cela malgré une immense protestation de la population.

 

Et pire encore selon moi : ces journalistes carriéristes n’arrêtent pas, depuis des années, de répéter que l’islamophilie doit devenir obligatoire et l’islamophobie considérée comme un racisme, une xénophobie, une haine de l’autre parce qu’il est différent.

 

C’est aussi dans les médias que le n’importe quoi est devenu, en Sarkhollandie, une écoeurante valeur de remplacement des acquis démocratiques et républicains.



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