Bravo à l’auteur.
Très bon article qui démontre les rouages des politiques qui répondent à une question par des pirouettes. Par une position tout à fait défendable mais qui ne répond pas à la question.
Pourtant dans le cas d’espèce, il faudrait que nos politiques aient des convictions et prennent des décisions. Il s’agit de la vie et de la mort, ce qu’il y a de plus important dans notre monde pourtant matérialiste. Et dans ce domaine l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Une petite anecdote personnelle qui en rejoint des tas d’autres : en 1980, mon grand-père a une crise cardiaque à 75 ans. Les médecins diagnostiquent qu’il va soufrir et mourir en trois mois maximum. Heureusement que l’eutanasie n’est pas légale parce que semaine après semaine il s’est remis, est sorti de l’hôpital, s’est remis à marcher et à reprendre goût à la vie. Il a vécu cinq belles années ’supplémentaires’ et est mort après d’une nouvelle crise cardiaque. Du rab de vie et de joie partagé avec sa femme et sa famille.
Tout à fait d’accord avec les commentaires précédents disant que chacun pèse l’importance de sa vie à l’aune du regard des autres. Deux personnes atteintes d’une même maladie ’incurable’ et étant au même stade de la maladie (si on peut dire cela), auront une attitude différente selon l’amour qu’elles reçoivent. J’ose espérer que notre société deviendra plus fraternelle et moins mortifère.
Statis