Salut Cocasse

tu dis : Se libérer de la souffrance ne mène pas à une situation neutre (simple absence de souffrance), au contraire, quelque chose jaillit de l’être, une source de joie et d’empathie.

je suis assez en phase avec cela, cependant ce que je vois pour l’avoir vécu ou le vivre est que « je » ne peut se libérer de la souffrance, ni agir dessus, ni l’affronter, ni la nier, ni lui faire face et tout le reste, car en ce faisant « je » reste le leader du cerveau ce qui est LE problème.....s’il peut par contre atteindre sa limite de compétence en voyant que « je » est en fait vaincu par celle ci alors ce qui ne peut jamais être prédit peut arriver .

 néanmoins « je » cherche encore et toujours à l’éradiquer, à agir dessus d’une manière ou d’une autre ,ce que pour moi il est incapable de faire pour des questions de champs de compétence , « je » peut être alors vaincu par cela,par ce qui lui fait mal, c’est du moins comme cela que « je » traduit avec sa vision propre et limité un tel moment......et là à ce moment je retombe tout à fait sur ce que tu dis et qui est ceci : «  » Se libérer de la souffrance ne mène pas à une situation neutre (simple absence de souffrance), au contraire, quelque chose jaillit de l’être, une source de joie et d’empathie«  ».

je ne sais pas d’où jaillis cela, mais c’est là éventuellement, un tel moment est insaisissable, l’humain ne peut rien pour que cela soit, sa limite de la pensée est de voir qu’il est vaincu et en souffrance, point or ceci n’est jamais un « fait ».. mais si cela arrive alors « je » va arrêter le combat et en ce faisant il va être la souffrance sans le vouloir mais parce que il est vaincu, et il baisse les bras, terrasser par plus fort que lui... et celle ci alors se révèle....comme elle le veut, « je n’a pas son mot à dire dans un tel moment,par contre une partie de ce qui se passe va aussi amener des changements en lui même, à son niveau qui est limite..e, par contre pour moi c’est tres clairement bien au delà de la joie...des mots , de la description...totalement hors de portée de la pensée..long sujet d’une vie..c’est un état ou il n’y a pas de hiérarchie, d’évaluation, de comparaisons etc...enfin bref tout ce que nous n’avons pas est par .....là ...dans un moment comme cela, on a change de dimension, enfin cela se fait tout seul....apres que devient la vie, y a t’il continuité d’un tel moment etc etc..ceci va se vivre au moment par moment....

il est inutile de parler éventuellement de après le vivre la souffrance ce qui veut dire qu’elle est libre ...car si ce moment précis n’est pas vécu ,tout le reste n’est que bla bla intello...

 »je« refusant d’être battu comme le dictateur local d’ailleurs ,il est une des sources de notre conflit permanent avec soi et avec les autres donc, car je reporte sur les autres ma propre souffrance, ce qui ne fait que tout empirer mais une fois la démence installée........ !!! »je" s’enfonce...........

Salutations..