Salut Jean....
tu dis : La difficulté est également de percevoir que ce que nous tentons de
faire pour changer les choses ne sont que des réactions à des processus
(automatiques) d’analyses et que les résultats sont toujours inadaptés
car dans le même modèle que ceux qui ont provoqué les problèmes.
tout à fait, nous sommes toujours dans le temps de la réaction automatique comme tu dis ( je dis tu amical mais aussi car vivant en Irlande ou l’anglais est la langue, cette notion de vous n’existe plus)
tu dis aussi : Nous ne savons pas (ou plus) quoi faire et là paradoxalement se trouve
probablement la clé, reconnaître notre impuissance pourrait laisser
ouvrir la porte à ... autre chose.
oui, je vois cela aussi..je dirais même « vivre notre impuissance » il faudrait développer ce propos mais une autre fois... cela dit çà parle très peu à très peu de personnes, en fait ce sujet effraye pas mal de monde genre : comment çà moi j’aurais des problèmes ? ça va pas non, je vais très bien !! toujours très bien !! çà a fait le vide autours de moi et je découvre d’autres personnes, notamment sur
le net,comme je parle et écris l’anglais je me retrouve a discuter avec des gens d’un peu partout... d’Inde notamment mais pas seulement....par contre à mes enfants ,ces sujets sont « vu » en temps de crise pour eux....ça leur parle, ça n’a donc rien d’extravagant si des enfants de 10 , 15 et 17 ans saisisse à leur niveau ce genre de « voyage en soi ».....ces sujets en fait parleraient à plein de monde..mais l’époque minimaliste et il faut le dire psychologiquement perdue , pour le moment ne prête pas à ce sérieux libérateur...it will come in time
merci de tes mots et salutations