@ alex
« L’auteur tire sur ceux qui sont au pouvoir, ce qui est normal : quand on se met sous le feu des projecteurs, on est plus exposé. Il aurait cependant dû rappeler que ces « élites » ont les mêmes opinions sur le bas-peuple, et s’accordent les mêmes privilèges, qu’ils soient de droite ou de gauche ».
Vous m’avez lu en diagonale car je l’ai justement fait, et dès la première phrase de mon coup de gueule ! Ou encore quand je compare Valls à son modèle sarkozien. Et quand je parle de ces ploutocrates qui se goinfrent entre deux diners du CRIF ou du Siècle, qui jouissent de privilèges scandaleux et qui sont totalement hors sol, où avez-vous vu que je ne parle que de la Socialie au pouvoir ? L’emploi du mot « ploutocratie » est justement là pour mettre en avant que cette caste de privilégiés se moque comme d’une première dent de lait de ces qualificatifs d’échiquier politique d’un autre temps, aujourd’hui totalement dépassés et dilués jusqu’au presque néant dans le mondialisme financiarisé.
Votre reproche me semble donc particulièrement injuste, et même carrément à côté de la plaque.
Mais en vérité, le vrai clivage politique est bien plus aujourd’hui entre ces mondialistes prédateurs et cyniques et les souverainistes qui considèrent encore que c’est encore au peuple, au citoyen de décider. De ces souverainistes, il en existe à « droite » comme à « gauche ». le drame, c’est qu’ils sont infoutus de s’accorder sur l’essentiel, à savoir justement la restauration de la souveraineté nationale, seul cadre d’une possible et véritable démocratie. Commençons par sauver l’essentiel, notre pays, nous pourrons toujours nous chicaner après sur ces notions de droite ou de gauche ! Quand le bateau coule, on ne demande pas à ceux qui sont volontaires pour écoper leurs papiers d’identité ou leur certificat de sensibilité politique. Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Les gaullistes et les communistes ont su le faire dans le CNR, et nous serions infoutus de le faire aujourd’hui face à la ploutocratie qui nous trahi et nous méprise ? Qui détruit notre industrie, notre agriculture, notre modèle social, notre identité ? Qui mène le pays à la ruine ? Qui détourne nos institutions ? Qui ignore dans la forfaiture le suffrage populaire (référendum de 2005) ? Honte à nous !
Salutations
Marc LEROY - La Plume à Gratter