Salut Fergus,
Je me raccroche en ajoutant que les
ouvrières de chez GAD se définissent elle-mêmes comme des « salariées moyennes ».
J’avais déjà remarqué ce brainwash depuis un moment dans les médias,
mais nous y sommes : Les mots « pauvres », « prolos », « exploités »,
défavorisés", tout ça va disparaître (avant d’être interdit ?...), vive
la classe moyenne élargie !
Pour
mémoire : « Illettré : »Qualifie une personne qui éprouve de grandes
difficultés à lire et à écrire, bien qu’ayant été scolarisé."
A
moins de considérer un poste d’ouvrière chez Gad comme un terrain
d’épanouissement intellectuel, le mot n’est donc pas si inapproprié. Reste à savoir vers dans quelle direction on veut aller.
Je précise aux redresseurs de tords de tous poils que « sans dent » je suis. Mais comme dit Séguela, j’ai réussi ma vie, je porte des prothèses complêtes (5600€, merci) qui m’évitent les regards qu’hier les pourfendeurs d’expressions crues d’aujourd’hui me portaient : dégoût et rejet. Merci les nouveaux amis de la classe ouvrière, celle dont je sors et dont il ne faut pas dire qu’elle est devenue con au point de venir en aout se faire prendre en photo sur le port de St jean cap Ferrat devant le yacht immatriculé à la Barbade d’un salaud qui est peut-être le patron du groupe qui l’exploite.
Sans dent... illettré... quelle horreur ! Vive les présidents yacht-rolex-rayban qui s’augmentent en merdant la classe ouvrière (pardon : la classe moyenne) et mort, au nom de la pudeur sociale, à ceux qui parlent vrai !