Ouf !
Il se confirme qu’il n’y a rien en face !
Les opposants reprennent le débat sur la situation du pays et les solutions pour y remédier, là ou il l’avaient laissé en 2012. Eux en tout ca, n’ont pas changé.. Rien oublié, rien appris. Et quand on pense qu’ils nous ont choisit Hollande, on ne sait si on doit rire ou pleurer...
« La situation n’est pas grave, Sarko a des talonnettes, et le changement, cela va être maintenant.... »
Autant dire que Sarko va pouvoir adopter un profil bas...Presque inutile de dire quoi que ce soit. Tout est clair pour 87% des français. L’expérience, de gauche, voulue par l’ensemble de ses partis, est une catastrophe. Les seules choses que les gauches aient à proposer sont de persévérer dans l’être pour une moitié ou de s’autocritiquer de façon suicidaire pour l’autre.
Dores et déjà, la principale question politique qui se pose est la suivante.
Après le tsunami démocratique qui va nous débarrasser des pesanteurs les plus archaïques que nous imposent depuis trop longtemps les classes sociales de gauche, il faudra veiller à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Sans cesse se souvenir, qu’aussi incompétents et égoïstes qu’ils soient, ces gens sont nos compatriotes et qu’il faudra bien leur prévoir des places dans une France enfin en train de se rénover.
C’est ce qu’il y a de plus positif dans l’intervention de Sarko.
Visiblement, il a changé.
Il a perdu l’illusion que l’on pouvait associer ces prédateurs de façon constructive aux nécessaires réformes ( « l’ouverture ») Ils n’en veulent pas. Il va falloir les leur imposer démocratiquement.
Mais il n’oublie pas qu’ils continueront à faire parti du paysage.
Faute de pouvoir espérer faire avec eux, il faudra faire sans, ou malgré eux, mais sans jamais oublier l’indispensable soutien psychologique qui devra accompagner ces gens, enfin soumis aux changements et pour lesquels ceux-ci constituera une expérience traumatisante.