« qu’il y a bien un lien entre le score d’un parti à une élection et la fréquence de son passage »
Oui, la relation est dans le sens : vous faites du score, vous avez droit à plus de passages, donc à score proche de zéro, passages proches de zéro.
L’exception est pour les politiques qui ont du charisme (Besancenot par exemple), mais comme Asselineau vient de prouver qu’il avait autant de charisme qu’une moule, il n’est pas prêt d’être invité ailleurs (à part pour l’amener encore à la boucherie).
Quand à ses idées. Autant je suis d’accord pour sortir de l’Otan (et arrêter d’aller faire la guerre partout surtout), de l’Euro et de la CEE (en fait je suis même pour la scission de la France en plusieurs régions autonomes, plus il y aurait de régions, plus il y aurait des chances qu’une région au moins soit bien gérée et j’irai y déménager rapidement). En fait, comme je ne peux pas partir en Suisse, j’aimerai juste une région française gérée comme la Suisse. Autant quand je l’entend parler de nationalisations et autres idées calamiteuses, je comprend que son mental est bloqué en 1950, et qu’il n’a donc aucune chance de décoller, Marine Le pen ayant le même programme général, mais avec du talent.
De plus, j’ai discuté une fois avec un autre « petit » candidat à la présidence, qui m’a raconté qu’il avait essayé de l’approcher pour une éventuelle alliance. Il a vite arrêté la discussion quand il a découvert à quel point Asselineau avait un égo démesuré qui l’empêchait de soutenir la moindre idée dont il n’était pas l’auteur.