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Commentaire de bakerstreet

sur Petite introduction à l'imposture freudienne


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bakerstreet bakerstreet 9 octobre 2014 21:38

Assez d’accord avec JL

On ne sait pas où trop l’auteur veut en venir, entre fascination et critique. 
Freud n’est pas dieu, et ne l’a pas prétendu. 
Pour ou contre ça n’a pas de sens. 
Freud n’était pas l’avant centre de l’équipe d’autriche

Comme Marx, il a analysé les processus, mis de la graisse dans les roulements, affirmé la mécanique des fluides.
 Pas de l’exploitation historique, mais de l’inconscient. 

Longtemps il a cherché le détroit de Béring, le fameux passage du nord ouest, où l’âme, en débouchant sur le pacifique, voisinerait avec l’envol des dieux, se délestant du surmoi, comme des sacs de sable jetés du haut d’une Montgolfier.

Las, l’affreux Adolph l’attendait avec sa canonnière, planqué derrière un iceberg !
Le « ça », infect, le caca, comme un cancer qui lui a bouffé la mâchoire, et l’a laissé muet. 

Ca fait rien, Freud, on t’aime quand même, même si tu exonère un peu trop les pères incestueux, même si tu ne livres qu’un moitié du mythe d’œdipe, celle qui t’arrange. 

Au fond, pourquoi pas, c’est l’art du roman et du mensonge, qui vous fait perdre la tête et vous jette dans les bras de Morphée, Eurydice...
Oh, les dieux grecs, les héros flambeurs, et les vénus callipyges qu’il n’aurait pas fallu abandonner. 

Saint Freud !
Rien à voir avec ce salaud Heidegger, et ces carnets infâmes, qui dévoilent que ce soi disant grand esprit n’était construit que sur des sables mouvants et putrides assez, 
isn’t it ?


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