Vous comprenez mal. Aujourd’hui, dans notre contexte orwellien, il faut surtout se dégager des idéologies pour comprendre les choses importantes.
Dans la vie courante, ce n’est pas vous qui diagnostiquez le c ancer de gens qui vous sont proches.
Vous laissez cela aux médecins qui ont la compétence et le dossier médical.
C’est ce qu’il faut faire au Japon. Laisser les médecins en charge, en général dans des universités qui ne dépendent pas du nucléaire il faut le noter, traiter la question.
Donc il faut considérer ce qu’ils disent. Sinon il faut avoir des arguments ; Vous n’en formulez aucun.
Tout ce que l’on peut faire en plus, c’est prendre connaissance de la carte des irrdiations intégrées pour les populations donnée par l’IRSN. Et prendre considérer les données d’irradiation pour les techniciens. Nous sommes dans le domaine des petites doses, sauf pour un nombre restreint de techniciens. Soient inférieures à 100 millisieverts. Donc de conséquences différées et en fait sur un nombre de cas limité. C’est ce que dit l’expérience.
Sur cette base comme je l’ai dit, et très tôt, le MIT et l’US-DOE américains ont jugé que l’impact sanitaire des accidents nucléaires de Fukushima Daiichi serait limité.
C’est ce que l’on constate.
On voit qu’il y a une cohérence dans tout cela.
Je ne suis pas payé pour défendre le nucléaire. Lorsque je participe à une réunion débat sur le nucléaire (où il m’arrive de me faire traiter d’assassin) c’est gratuitement hors frais de transport...
En fait, j’ai un rôle reconnu de défenseur du nucléaire sur des bases scientifqiues. Je veux dire que je ne prétendrai jamais que c’est une activité anodine. Simplement le nucléaire est incontournable.
Le fait que je sois attaqué me montre seulement que je peux avoir une certaine efficacité.