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Commentaire de foufouille

sur Ces plantes qui font trembler Big Pharma


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foufouille foufouille 17 octobre 2014 11:25

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Pharmacologie
  • En 2004, l’équipe du Dr Jonathan Vennerstrom de l’université du Nebraska d’Omaha réussit à synthétiser de l’acide artémisinique pouvant être converti en artémisinine plus efficace (in vitro) que celle produite naturellement. Cette molécule (OZ-277 ou RBx11160) n’a à ce jour (avril 2011) produit aucune résistance connue de la part de Plasmodium.
  • En mars 2006, deux équipes internationales45 montrent l’efficacité de diverses plantes dont le Quassia. À la même date, des chercheurs de l’université de Lille I développent une molécule, la « ferroquine », en greffant à un endroit précis de la molécule de chloroquine un ferrocène. La ferroquine serait jusqu’à 30 fois plus efficace que la chloroquine. Aucun cas de résistance chez P. falciparum n’est apparu (tant sur des isolats de terrain que sur des lignées de parasites entretenues en laboratoire) (avril 2011).
  • En 2009 (publication février 2010), des chercheurs de l’institut de technologie d’Atlanta identifient des composés anti-infectieux dits « bromophycolides » très efficaces in vitro contre des mycoses et contre le plasmodium falciparum51.
  • En janvier 2010, GlaxoSmithKline annonce rendre gratuitement accessible à la communauté scientifique une liste de plus de 13 500 molécules - ainsi que leurs structures chimiques - potentiellement actives contre P. falciparum afin de stimuler le développement de nouveaux traitements contre la maladie52.
  • En 2010, des chercheurs de l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg de Baltimore ont découvert qu’une bactérie appartenant au genre Enterobacter et vivant dans la flore intestinale d’Anopheles gambiae tue Plasmodium falciparum au moyen de radicaux libres. Environ 25 % des anophèles capturés près du Johns Hopkins Malaria Research Institute à Macha (sud de la Zambie) contenaient cette souche bactérienne. L’étude a démontré que la bactérie inhibe la croissance de P. falciparum en culture in vitro d’origine humaine jusqu’à 99 % tout comme elle le fait dans le système digestif des anophèles53,54.
  • En 2010 et 2011, deux nouvelles classes d’antipaludiques ont été découverts et sont en cours d’essais cliniques : les spiroindolones et les imidazolepipérazines55.
  • En septembre 2012 est réussie la synthèse de l’artémisine56, permettant à la production des traitements de ne plus être limitée par celle de l’armoise."


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