Sages remarques. Le sport = superstructure idéologique, un moyen de contrôle social, et au-delà de sa fonction d’abrutissement (tant qu’on fait le con dans une salle de sport à se chronométrer ou qu’on regarde ses héros à la télé, on ne parle pas politique-« idées forces »...), un objectif de dressage à l’esprit de compétition et de dressage des corps.
La présentation « télévisée »-idéalisée de corps toujours jeunes et sains dans le sport (comme dans la pub’ ou les séries TV) est un héritage des idéologies totalitaires et du « mythe » de la pureté. La promotion du sport est toujours liée à un système politique d’embrigadement (aujourd’hui libéral) que les fascistes historiques et les « rouges » ont poussé à son paroxysme.
Même les curés n’ont jamais eu un tel pouvoir de domination sur les masses à une telle échelle et avec une telle radicalité.
A l’auteur : un article sur les différences entre le sport (la compétition, la logique capitaliste car il n’existe pas de sport « socialiste »= escroquerie) et l’activité physique aurait eu son intérêt..Mais on n’y est pas du tout. Et si le « sport est un art », il a donc ses esthètes : http://youtu.be/g-aSkx_1fY0?t=1m50s
Misère du relativisme...