L’antisémitisme « institutionnel » est né au XIXème siècle, d’un accord tacite entre les promoteurs du projet sioniste et les jésuites qui sont derrière l’affaire Dreyfus. Depuis 1 siècle, les gens ordinaires s’écharpent à propos d’un débat qui les dépasse.
Au XXème siècle, c’est bien le Vatican qui est l’Etat, l’Institution qui a le plus profité des guerres, massacres, changements de régimes. Ces gens là gèrent un agenda séculaire qui échappe totalement à tous les protagonistes. Actuellement, serbes et grecs sont les pays qui souffrent le plus en Europe. Juste châtiment pour leur hérésie, l’Inquisition ne s’est jamais arrêtée.
Exemple avec la Chine communiste : après purges et reformatage de la population pendant 40 ans, la Chine sera le premier pays catholique du monde en 2030 !
Quel secret cache donc le Vatican ?
Le personnage historique de Jésus n’était autre que Caius Julius Caesar, né d’un Déesse (Vénus), mort pour le 15 Nizan, soit à Pâques, et ressuscité le 3ème jour pour aller s’asseoir à la droite du Père, Jupiter. Son effigie en cire a été symboliquement crucifiée au pied du mont du crane (Golgotha) le jour de ses funérailles par Fulvia et son mari Marcus Antonius, auteurs du premier évangile de Marc. En cela, Fulvia a reproduit les funérailles de son premier mari Publius Claudius Pulcher. Elle jouera le rôle de Marie Madeleine dans les Evangiles. Selon le Dr Carotta, Fulvia joua un rôle central dans la naissance du premier Evangile. Elle fut par ailleurs la première femme de l’Empire a avoir son effigie gravée sur une monnaie. Elle leva une armée et occupa Rome.
Caesar était un populare, assassiné pour sa réforme monétaire, économique et fiscale, il a pris partie à l’époque pour les 99% contre les 1% de possédants :
http://armstrongeconomics.com/693-2/2012-2/anatomy-of-a-debt-crisis/
Caesar fut un génie économique. Sa réforme monétaire et fiscale montre qu’il avait très bien compris le caractère dynamique de la monnaie. Sa réforme pourrait servir aujourd’hui de modèle à la résolution de l’actuelle crise de la dette (bis repetita).
Caesar était réputé pour sa clémence (Caesar Clemencia), et bcp de ses statues sont des « Pieta ». Comme Jésus, il a été assassiné, pour avoir été accusé de vouloir devenir Roi.
Une découverte récente en Espagne, considérée comme la plus vielle représentation du Christ, nous montre un Jésus imberbe vêtu en toge de « philosophe grec » :
La famille Iuli possède un tombeau sous l’Altar de la Basilique St Pierre. Les funérailles de Caesar ont eu lieu le jour les Liberalia, la fête dyonisaque du partage du pain et du vin. Le pin coupé faisait aussi partie de la célébration des mystères du printemps auquel on accrochait moult colifichets.
Au moment des jeux d’été 44, présidés par Octavius, une comète est apparue, ce qui fut interprété comme l’âme de Caesar saluant le nouvel homme fort. Caesar a été fait Dieu de son vivant, ainsi qu’Octavien, le futur Auguste qui donnera un caractère solaire à son règne, le nouvel Apollon.
Dans les Evangiles, Octavien est le Jésus de l’enfance, pendant que le Caesar de 49 à 44 est le Jésus de 30 à 33 ans. C’est Calpurnia, beaucoup plus jeune que Caesar, qui joue le rôle de Marie pleurant la mort de Jésus, en fait Caesar que l’on a déposé sur le pas de sa porte et qu’elle tient dans ses bras dans la célèbre statue de Raphaël. C’est pourquoi Marie apparait toujours aussi jeune dans les représentations ultérieures.
Le christianisme est fait d’un mélange des anciens mystères dyonisaques (sacrifice, eucharistie) et du culte solaire lié à Apollon et Mythra, dichotomie que l’on retrouve dans tous les textes :
https://archive.org/details/lesmystrespaens00loisgoog
Le culte de Caesar s’est perpétué dans tout l’Empire, à travers les Caesare et les anciens légionnaires devenus propriétaires, car les Acta Caesaris ont été sauvés lors des négociations avec les meurtriers Cassius et Brutus : le pardon contre l’application des lois sociales césariennes. (ce qui n’empêchera pas Octavien de les pourchasser jusqu’au dernier, rompant par la même la philosophie du pardon et de la clémence envers ses ennemis d’hier prônée par Jules qui fut le premier à rompre avec la vengeance). Octavien a placé son règne sous la protection d’Apollo, alors que Caesar fut déclaré « Parens Optime Meritus » par Marcus Antonius, ce qui à l’époque pouvait s’interpréter comme « celui qui a donné sa vie pour la patrie », en terme chrétien, celui qui a connu la passion.
Les frontières de l’Empire romain se juxtaposent parfaitement avec celles du christianisme, et pour cause. Cela explique très bien la diffusion simultanée du christianisme à tout l’Empire, en tout cas bien mieux que selon la légende d’apôtres solitaires arpentant l’Europe.
Les flaviens (Vespasien et Titus) ont ensuite relocalisé le culte en Palestine pour acheté la paix religieuse auprès d’un peuple juif remuant et contestataire dont ils venaient de détruire la ville phare, volant les objets rituels les plus sacrés. Les recherches menées par Abelard Reuchlin indiquent que c’est probablement la famille Calpurnius Piso (belle famille de Caesar) qui a rédigé les Evangiles complets avec les actes au tournant du 1er siècle, se mettant en scène de façon codée dans la version en grec (où comme en hébreux, les lettres ont valeur de chiffre).
La conversion paulinienne a été l’artifice trouvé par les auteurs pour convaincre le peuple juif de suivre le culte nouveau, un culte qui s’adressait aussi aux gentils (débats sur la circoncision avec Pierre et autres). Tout a été fait pour que les juifs ET les gentils se retrouvent ensemble devant les mêmes autels, pour la plus grande gloire de Rome.
Les juifs instruits n’ont pu que refuser ce nouveau culte, un culte à un empereur. Ce refus sera aussi celui des esclaves, des citoyens de seconde zone qui refuseront cela et deviendront les premiers martyrs, martyrs récupérés ensuite après Constantin.
Au cours de la relocalisation, Galia est devenue Galilea, Corfinium Capharnaum, le Rubicon le Jourdain. Paul, personnage fictif, se confond avec un autre personnage fictif : Flavius Josèphe. Des historiens comme Tacite ou Suétone étaient probablement complices.
Le frère et néanmoins ennemi de Caesar, à savoir Pompée, prendra le rôle de Saint Jean Baptiste. Sa tête finira sur un plateau, comme celle de Jean.
La religion chrétienne ne fera que reprendre l’ancienne organisation de la Rome antique pour prospérer (prêtres, Evêques, diocèses, architecture (le roman), jusqu’à l’actuel Pontifex Maximus).
En clair, le judéo-christianisme n’existe pas. Seul existe l’Empire romain, ressuscité grâce aux accords de Latran le 11 février 1929.
Si le bon peuple peut constater une « certaine sur-représentation » des juifs dans les secteurs les plus exposés (médias, cinéma, littérature, ...), il n’en est rien au niveau du gros buziness (Boeing, Lookheed, GM, GE, ....), tous tenus par des hommes faits chevaliers du SMOM (souvereign military order of Malta), de Colombus, de St Jean, ou encore de Jérusalem. Les jésuites sont l’armée secrète de cet ordre mondial.
Barroso, Trichet, Junker, Draghi, Van Rompaye sont tous jésuites (Hollande et Valls aussi). Les jésuites sont les inventeurs du communisme avec leurs réducciones du Paraguay. 150 ans d’expérimentations avant déploiement mondial. Un christianisme athée et radical qui ne demande qu’à revenir dans le giron de Rome après reformatage (Chine, Vietnam, Cambodge).
Jérusalem a donc été placée sous la garde des juifs (plutôt que les musulmans les nouveaux méchants) en attendant que le Vatican ne soit en mesure de reconstruire le Temple, pour la plus grande gloire de Saint Ignace.
http://www.carotta.de/index.html
http://www.carotta.de/eindex.html
http://www.carotta.de/subseite/texte/articula/Fulvia_fr.pdf
http://trueauthorship.blogspot.fr/
Film gratuit du Dr Carotta avec reconstitution des funérailles de Caesar sur le forum :
http://divusjulius.wordpress.com/goc/gocdl/
Last but not least, les pièces frappées à l’effigie d’Augustus Octavius portent le symbole du Chi Rô, au début une étoile à 6 branches surmontée de la fameuse comète.
Les discussions stériles sur l’antisémitisme ne sont que la manifestation d’un débat qui dure depuis 2000 ans et dont Rome maîtrise à la perfection la malignité. Que cette Institution/Empire soit complice des sionistes, aucun doute à ce sujet. Il faut toujours 2 mâchoires à un étau. Zemmour/Attali par exemple.
Le Nouvel Ordre Mondial n’est donc que la résurrection de la Rome antique, païenne, doté de moyens technologiques et scientifiques qui ne laissent guère d’espoir pour la future espèce humaine (transhumanisme).
Les juifs en général ont bien raison de se faire du souci. Tous les gentils aussi d’ailleurs.
03/04 12:59 - ORBAN DETER
« ces vidéos restent confidentielles et sans danger réel par leur nature farfelue et aisément (...)
24/10 13:54 - MisterA
Sérieusement vous n’avez trouvez que le site voltaire comme source à nous apporter ? (...)
24/10 11:27 - Mowgli
« J’ai écris un »article récemment sur le sujet, vous verrez, ça change des positions (...)
23/10 20:30 - yvesduc
On ne peut détruire la Palestine au nom des Juifs, emprisonner et parfois torturer des mineurs (...)
23/10 17:35 - Luc-Laurent Salvador
@ Electric « ce que vous dites ne vaut pas pour argument » Merci, je sais. Où avez-vous vu (...)
23/10 16:39 - Hermes
Electric, à quel endroit SVP voyez-vous Rome dans l’initiative d’Astana ? Merci (...)
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