Le NIST est un organe du gouvernement qui n’a pas pour objectif principal de nuire aux actions de son gouvernement - il a été contraint de couvrir les évènements.
Pour être bref, disons que deux tendances dominent
présentement sur Internet.
* Les uns, représentés par le très respectable Steven
Jones PhD, évoquent l’utilisation de puissants explosifs militaires, installés
à l’avance dans les tours.
* Les autres, conduits par les non moins respectables
Morgan Reynolds PhD et Judy Wood PhD, font quant à eux intervenir un dispositif
militaire “high-tech”.
L’effondrement rapide des deux solides structures ne peut résulter de l’impact
des appareils combiné aux foyers d’incendie, foyers d’ailleurs très modestes,
peu alimentés en oxygène. En fait, une douzaine d’anomalies particulièrement
étonnantes se dégagent du puzzle et méritent, sans conteste, des analyses plus
poussées : (Les 13 observations suivantes sont largement étayées par des documents
photos, vidéos et analyses scientifiques diverses, présents sur les sites
spécialisés)
1- La pulvérisation en un fin aérosol de la presque totalité du béton des
planchers des 2 tours ;
2- La présence importante de très fines poussières de fer, apparemment
vaporisées par une puissante source d’énergie, capable d’amener instantanément
et de manière homogène, des sections d’acier à la température de sublimation ;
3- La projection d’éléments de structure pesant jusqu’à 20 tonnes sur plus de
200 mètres ;
4- La présence de grandes quantités d’acier fondu dans les sous sols des WTC 1
et 2 ;
5- La disparition complète (fondue ou vaporisée ?) d’une presse de 50 tonnes
située au sous-sol du complexe du WTC ;
6- Malgré un arrosage continu des débris pendant plusieurs jours d’affilée, de
l’acier encore rouge est retiré des sous sols 6 semaines après les
effondrements ;
7- Un taux anormalement élevé de Tritium a été mesuré sur le site ;
8- La très faible hauteur de la pile des débris des WTC 1 et 2, qui auraient
normalement occupé un volume bien plus grand ;
9- L’absence quasi-totale dans les ruines des bâtiments 1 et 2 d’équipements de
bureau [1] d’ordinateurs, restes humains etc. enfin, de tous corps massifs ou
composés d’eau, alors que des milliers de documents en papier intactes
recouvrent une grande superficie du site ;
10- Certains véhicules situés à proximité des tours, non touchés par des
débris, auraient mystérieusement pris feu de manière instantanée ;
11- Plusieurs circuits électroniques sensibles, dédiés aux télécommunications
entre autres, auraient apparemment été endommagés dans un périmètre de
plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre, trois mois auraient été
nécessaires au rétablissement de ces services ;
12- Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses verticales,
trahissant ici l’action de gaz chauds, tel ceux rencontrés dans les cheminées
qui caractérisent la physionomie des déflagrations thermonucléaires.
13- Les étranges enregistrements sismiques du Earth Observatory de l’Université
de Columbia, situé à une trentaine de km au nord du complexe WTC, démontrent
distinctement la présence de deux importantes pointes, traduisant la libération
rapide d’une grande quantité d’énergie, survenues peu après le début de chaque
effondrement : 2.1 (à l’échelle Richter) pour la tour sud et 2.3 pour la tour
nord ;
Autant d’anomalies étranges qui interpellent tous esprits rationnels, encore
capables de réflexion autonome.