Ensuite qui peut s’étonner que la charge représentée
par les constructions situées au dessus de l’impact ne puisse être
supportée par les planchers des niveaux inférieurs ?? A chaque étage
effondré il faut ajouter son poids sur le plancher de l’étage en dessous
et ainsi de suite …
ben non
quand un, ou dans ce cas deux ou trois étages cèdent, les étages intacts au dessus se mettent en mouvement vers le bas, gravité oblige, et prennent de la vitesse( si cela vous intéresse on peut faire le calcul), et quand ils impactent l’étage intact en dessous ils ont accumulé une énergie en fonction du carré de la vitesse acquise(et de la moitié de leur masse)
Sur un parcourt d’une douzaine de mètres,la vitesse acquise pourrait être de l’ordre de 10 m/s, le facteur de multiplication de l’effet masse est donc dans ce cas de 50.
Si chaque étage est prévu pour supporter le poids des étages supérieurs avec une marge confortable, augmenter la masse par 50 dépasse largement les capacités prévues.
Et ce phénomène ne fait que s’amplifier à chaque étage qui cède.
Sur la photo, (je n’ai pas lu l’article) je suppose que l’auteur s’étonne que les étages supérieurs sont détruits avant « l’arrivée en bas », mais à chaque impact avec un étage inférieur, la colonne supérieure subit une énergie en fonction inverse des masse en présence, dirigée vers le haut, ce qui fait exploser à la fois l’étage impacté en dessous et l’étage impacté du dessus
Lors d’une autre daube sur le sujet, un intervenant avait mis en lien, supposé prouver sa théorie une vidéo de la chute d’une tour,mais à l’analyse cela concordait parfaitement à l’argumentation ci dessus, y compris l’inclinaison au départ, qui se stabilise dès l’impact des étages intacts.
Je me permets de vous reprendre,et j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, car vos commentaires sont généralement frappés de bon sens, ce qui sur avox tient de la singularité, mais vous comprenez que discuter avec les enclumes n’a aucun intérêt, et qu’ils sont étanches à toute rationalité