Avec ou sans Malthus, l’humanité est paralysée par sa
démographie et il n’est plus temps de gloser sur le sujet mais d’agir.
Si tous ses maux perdurent et
s’amplifient partout dans la monde, si le chômage et la pauvreté
augmentent, si les inégalités sociales se creusent, si les
revendications et les violences se multiplient, si le climat et
l’environnement se dégradent chaque jour davantage, si les pires
famines que nous ayons jamais connues s’annoncent, la raison première
en est l’augmentation considérable de la population mondiale. Chaque
jour, 250 000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la
planète pour aggraver son pillage et ses conséquences.
Il est urgent que les experts en tous
genres, que les responsables politiques et religieux de tous niveaux,
que toutes les bonnes volontés, dépassent leurs visions
particulières et limitées de l’écologie que sont le climat,
l’énergie, les pollutions en tous genres, les ressources
alimentaires, etc. par lesquelles ils ne font que masquer un peu plus
l’essentiel qu’est le fait démographique. Comme certains le font déjà, encourageons la réduction de notre nombre par celle des taux de natalité les plus élevés,
le reste suivra.
C’est la seule planche de salut de
notre civilisation et peut-être même de l’espèce. Et elle est
réelle, quelques générations pouvant suffire à revenir – par
une simple dénatalité respectueuse de la dignité humaine – à
une population tolérable par la planète et l’espèce elle-même,
devenue ingouvernable. Certes, d’autres problèmes surgiront, tels
que notre vieillissement et la décroissance, mais ils seront
passagers et eux aussi maîtrisables.
Pour approfondir cette réaction : http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com