Chalot
A ceux des musulmans qui répètent inlassablement qu’ils ne veulent
pas que la barbarie islamique soit commise en leur nom il faut inlassablement
répéter que ce n’est pas en leur nom qu’elle est commise mais au nom de leur Dieu commun, lequel a
bien, selon leur commun prophète et
les rédacteurs du Coran, appelé à la fraternité mais pas du tout à sa pratique universelle, comme l’avait fait six
siècles plus tôt le prophète des chrétiens.
C’est à la seule fraternité entre
musulmans qu’appelle le Coran. Envers les juifs, les chrétiens et les
non-croyants il appelle au contraire au mépris, à la haine et à la violence qui
devra les conduire à la soumission.
La seule vraie trahison de leur religion par les musulmans violents
existe quand ils pratiquent leur violence et leur barbarie contre d’autres musulmans, ce qui est très souvent le cas de nos
jours, mais simplement comme depuis toujours dans l’histoire de l’islam.
Comment pourrait-il en être autrement dans la vie d’une religion qui préconise les deux moyens de soumettre le monde à
son Dieu Allah : la conquête par la voie pacifique (incluant le droit au
mensonge permettant de cacher provisoirement l’objectif réel) et la conquête par la pratique de la violence ?
Que de très nombreux jeunes musulmans veuillent vraiment que leur
religion soit porteuse d’espoir et de paix, j’en suis convaincu. Mais s’ils
veulent affronter honnêtement les causes réelles de la violence islamique,
débarrasser l’islam de cette flagrante tricherie, c’est à la réalisation d’un véritable miracle qu’ils doivent se
consacrer : faire disparaître les appels à la violence de leurs textes
sacralisés... qu’ils n’ont pas le droit de modifier si peu que ce soit,
puisqu’ils ont appris à les considérer comme des textes dont leur Dieu
Allah serait le véritable auteur.
S’ils veulent continuer de croire en Dieu et en la fraternité
universelle entre les humains mais qu’ils s’avèrent incapables de réaliser ce
miracle, ils n’ont pas d’autre choix que de quitter l’islam, et de chercher une
religion sans l’énorme tricherie fondatrice. Les fanatiques - c’est ici un
pléonasme - fondateurs de l’islam l’ont compris dès le début, et c’est pour ça
qu’ils ont mis en place la règle de la condamnation à mort de celui qui quitterait sa religion en le disant publiquement.
Une règle, rappelons-le, dont les gouvernants français n’ont toujours pas exigé le très officiel et très public rejet par les responsables, en France, de l’islam prétendument « modéré ».
Les musulmans honnêtes, individuellement pacifiques et à l’esprit
réellement fraternel sont dans une situation très difficile. Ils sont les
premières victimes de leur religion et il faut les aider à en sortir. Les encourager, comme vous le faites ici, Chalot,
à fuir dans la tricherie et à s’enfermer dans l’illusion d’une solution interne, ce n’est pas leur rendre service, bien au contraire.