On peut trouver le pire et le meilleur sur n’importe quel journal.
Enfin pas tout à fait c’est vrai !....Certaines valeurs actuelles sont représentées bien plus chez certains que d’autres.
Bon, mais à part il m’est même arrivé de trouver un bon papier dans match
Et de me faire chier royalement en lisant un libé insipide, même pendant « les bonnes années »
Parfois, je me suis surpris de revenir à la première page, afin de vérifier si je m’étais pas gouré de canard.....
Le lecteur comme pour le moto cross, a intérêt à être formé à la déformation du terrain avant d’enfourcher sa moto, je veux dire ses lunettes.
Des mauvais articles, il fera profit des sophismes, et de la rumeur à la mode du monde.
Des bons, il regreterra de ne pas les avoir écrit, plutôt que de se prélasser au soleil.
Libé, c’est bien pour les vacances, , juste quelques pages non parisiennes qui se lisent assez bien, et qui me rappellent la grande époque, c’est à dire ma jeunesse, les seventies.
Sauf que ça fait un peu cher juste pour un titre.
Comme une maison dont on n’aurait que gardé que la porte !
Où donc trouver l’esprit ?
L’obs, comme il s’appelle maintenant, c’es un peu pareil.
On sent trop les connivences, les copains à qui l’on revoie l’ascenseur.
Le culte parisien comme dans les années 60 ou à l’époque de Montesquieu
« Il n’est de bon bec qu’à Paris ! »
Et puis ces pubs Vuitton en pleine page, juste entre deux déplorant l’état du monde.
Ca vous fout la nausée, ça vous exaspère, même en les tournant à toute vitesse.
Une indignation en trompe l’œil !
De plus les mannequins anorexiques ne vous sourit plus en se déhanchant le coccyx, faisant juste demi tour sur le podium à tant avant la chute finale.
Elles vous font la gueule, les yeux noirs pire qu’après une explosion nucléaire.
Après tout, ne serait ce pas des pythies grecques, nous annonçant ce que les autres veulent nous cacher ?
C’est De Gaulle, tout de même qu’avait fondé le monde, et choisit Beuve-Méry, qui se demandait bien ce que tout cela signifiait, et si on allait lui laisser les coudées franches.
Mais De Gaulle n’avait pas de mauvais dessein, juste attentif à la grandeur de la France, qui avait besoin d’un grand journal crédible d’information.
Le canard, finalement, c’est tout ce que j’achète.
je dirais pas faute de mieux, ce serait se foutre d’eux qui font leur boulot, qui garde le même style.
Dire que j’ai commencé à apprécier Cabu quand je lisais Pilote, le grand duduche, dés le début des années 60.
Et voilà qu’il est toujours là le bougre, toujours aussi « djeune » d’esprit, et mordant là où il faut !
J’achèterais bien médiapart, s’ils faisaient une version papier.
Besoin avant tout de papier, et pas seulement pour les chiottes.
Surtout ne pas mélanger les deux genres !
