Bonjour,
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« Dans un pays riche comme le notre, comment en sommes nous arrivé là ? »
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Simplement par l’abandon de l’état français des citoyens avec des faibles revenues sans y parler des gens en précarité financière ...
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Le nouveau cap est désormais la mondialisation, c’est à dire la poursuite du programme de la précarisation des travailleurs sans y épargner la classe moyenne ! Le nombre des riches et ultra-riches ont double ses 10 dernières années et les ultra-riches sont malgré la dite crise devenue plus riches.
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Les multinationales payent de moins en moins d’impôts et des taxes affaiblissent et réduisent ainsi le champ d’action de l’état français ... idem pour les autres pays européens.
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Dans la séquence de crises qui s’est ouverte il y 40 ans, une
opportunité s’est soudain ouverte avec l’arrivée au pouvoir de
gouvernements libéraux dans les années 80. Cela s’est traduit pour le
capitalisme par un renforcement quasiment « miraculeux » des rapports de
forces en sa faveur. Le monde politique s’est soudain mis à favoriser
la création de richesse en relâchant les contraintes qui pesaient sur la
répartition.
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Cette politique était censée faire revenir la croissance et résorber le
chômage. Si la croissance est restée soutenue, c’était sans compter avec
les gains de productivité massifs réalisés grâce à l’automation et
l’exportation du travail dans des pays où il coûte moins cher. Dans le
même temps, la part des revenus du travail dans la valeur ajoutée
diminue, malgré la hausse astronomique des salaires de direction. C’est à
la fois une conséquence des gains de productivité réalisés (moins de
salariés créent plus de valeur ajoutée) et le reflet de la lente
dégradation des rapports de forces en défaveur des salariés. source
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Les travailleurs et les classes moyennes ont été trahis durent ses dernières décennies avec une forte accentuation depuis 2008, par les parties politiques au pouvoir, sans distinction du clivage droite gauche !