@ Alinea & rocla
Elle a expliqué qu’il y a une rupture de l’égalité entre contractuels dans la ftp et contractuel dans le privé ( diff entre droit public et droit commun). Dans la ftp, tu ne peux quitter ton boulot que si le maître veut bien ou bien alors tu n’as que les yeux pour pleurer. D’une part, on te met sous la pression ’renouvellement ou pas’ pour te pressuriser et (si j’ai bien suivi), dans certains délais on te propose renouvellement et tu as 8 jours pour accepter ou décliner, sachant que le refus équivaut à la perte de tous tes droits. Donc, tu pourras partir si le maître veut bien, si tu as des atomes crochus avec lui, etc = arbitraire.
Tu es donc de facto prisonnier et l’employeur est maître de ton destin. Tes cotisations équivalent à du racket ; tu cotises solidairement mais ne peut aucunement bénéficier de droits puisque le droit s’écrit selon la volonté du maître et la volonté du moment. Une loterie, en fait, et c’est le maître qui choisit les n° gagnants.
Les Drh ont coutume d’extorquer une démission pour se couvrir. Et le tout se passe sur fond d’illégalité puisqu’on te propose des contrats illégaux qui servent à mettre en pratique cette belle entourloupe.
Et la justice couvre le tout.
Le texte de Jean Mohamed est mal fichu. A travers son expérience, Emilie a découvert que ce p*** de système était corrompu jusqu’à la moëlle. Elle souhaite donc faire la révolution, ou tout au moins rétablir la République dans ce domaine.