• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de alinea

sur « Disgrâce » de John Maxwell Coetzee, ou la peur du vide


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

alinea alinea 27 décembre 2014 14:15

Oui, je comprends cela.
 Mais lire est aussi un échange, d’une certaine façon, en tout cas une rencontre, ainsi, des choses ciselées que l’on aurait peu appréciées, peuvent se révéler dans l’ensemble des écrits d’un homme, comme dans ses actes ; c’est à ce moment que le lecteur n’est plus un « consommateur » mais quelqu’un qui s’ouvre à la sensibilité, aux pensées d’un autre ; tout alors peut corroborer votre première impression, ou bien au contraire, un autre monde peut s’ouvrir qui vous fait faire un pas en avant dans vos propres visions des choses parce que vous vous être imprégné dans ce nouveau, cet inconnu.
Bien sûr, il faut pour cela un minimum de confiance, et je ne suis pas en train de faire de la pub(! !) mais juste de pinailler, puisque nous sommes là pour discuter !!
D’autant plus que Disgrâce me paraît être très différent de ses autres livres. Malheureusement je n’en ai pas un sous la main !!
En tout cas, Coetzee garde, très honnêtement me semble-t-il, son point de vue, donné par ce qu’il est dans ce pays, ( où il ne vit pus, si ?) et je n’ai pas le sentiment qu’il veuille se faire porte-parole d’une vérité ou de quoique ce soit ! Cette humilité me le fait apprécier, de ma France !!! smiley


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès