Ce bébé est la victime d’une politique européenne de m...e, qui ne tient absolument pas compte des réalités économiques des pays dit d’accueil, des capacités d’hebergement.. Bref qui a mis la charrue avant les boeufs avec sa libre « circulation »...
Aux communes et organismes sociaux de se débrouiller sans que les moyens mis à leur disposition soit suffisants..
Mais suffiront ils lorsqu’il nous faudra faire face non plus seulement à la migration des populations de l’est mais à l’afflux de réfugiés venus de lybie, de syrie, d’irak et d’erythrée ? (200 000 demandeurs d’asile en 2014 à destination non pas des pays comme la lituanie ou la roumanie mais l’allemagne, la france voire l’angleterre...
qui ne viennent plus par petites embarcations, mais par cargos chacun pouvant contenir 1000 personnes approximativement et dans lesquels se trouvent des femmes enceintes, des enfants ? (le camp des saints était prophétique !)
Les immmeubles et logements sociaux ne poussant pas comme des champignons, nos politiques se refusant à réquisitionner les logements vides du privé pour déjà résoudre le mal logement endémique depuis des années..
Mais revenons à notre bébé ainsi qu’à ses frères et soeurs qui vivent dans des conditions que ne devraient connaitre aucun enfant quelque soit son origine...
On ne peut faire l’impasse chalot sur le fait que depuis plusieurs décennies en europe (j’ai vu ceci à rome en 72, à nice dans les années 80), les pauvres mômes sont utilisés à des fins de mendicité, que ceux ci servent également de passe droit pour l’obtention d’un logement... Bref que notre politique encourage ces pratiques, ce qui crée un « appel d’air »...
Que l’objectif visé (ou tout du moins souhaité) soit l’insertion de ces population est aux abonnés absents... car si cette insertiion était mise au premier plan et la loi sur la maltraitance appliquée, ces enfants seraient soustraits à leurs parents pour les protéger... le temps que ceux ci puissent subvenir à leurs besoins (ce qui aura un effet disuasif si les parents ont au moins le minimum vital dans leur pays, ici des autochtones déjà ne l’ont pas ce minimum vital)...
Maintenant chalot, promenez vous dans les villes et villages, observez les rues commercantes qui se vident de leurs commerces un peu plus chaque jour.. Consultez les chiffres, ceux des liquidations judiciaires, ceux du chomage, ceux des demandeurs de logements sociaux, ceux des mal logés souvent aussi mal nourris et mal chauffés ou pas du tout..
Car chalot, même dans mon quartier, nombre de gens ne se chauffent plus l’hiver !
Combien de temps avant que la colère gronde, combien de temps avant que comme les grecs ces derniers jours, nous fermions les yeux devant ces bateaux chargés de refugiés et les laissions s’échouer sur les récifs... ?
atroce oui, mais réaliste... ca va finir très mal tout ceci..