2° coup (plus récent) : le
choix politique de s’occuper des personnes désirant faire le djihâd en Syrie ou
en Irak et de n’axer la politiques antiterroriste la dessus et uniquement la
dessus. Je suis prêt à parier une pièce que les 2 lascars recherchés n’ont
jamais mis les pieds en Syrie ou en Irak ou dans tout autre pays arabes.
Il semblerait qu’ils soient partis dans un camp d’entraînement en Tunisie.
Si on veut comme vous noyer le
poisson en parlant de musulmans, d’islamistes, de problèmes de banlieue voir
même d’immigration pour ne pas mettre le doigt sur le vrai problème à savoir :
« cette propension qu’ont les politiques à bousiller ce qui marche bien »
on continuera telle une autruche à avoir la tête dans le sable.
Il est certain que la désorganisation des services est en cause. D’un autre côté, ces djihadistes en herbe constituent autant de grenades dégoupillées. Or les grenades se multiplient, et je ne suis pas sûr que même des services en état de fonctionnement optimal pourraient faire face efficacement à cette vague de petites racailles fanatisées qui nous tombe dessus. Or le problème fondamental est l’islam, que vous le vouliez ou non. L’islam qui est le terreau sur lequel peuvent s’épanouir ces jeunes pousses porteuses de mort.