Extrait
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Tout a commencé avec l’introduction du système bancaire dénommé, la Réserve Fédérale. Lorsque le décret de la Réserve Fédérale fut voté par le congrès aux Etats Unis en 1913, le Député Charles Lindbergh a prévenu le Congrès Américain dans un registre du Congrès daté du 22 décembre 1913 (vol. 51), qu’en instituant le système privé de la Réserve Fédérale, la conséquence inévitable serait qu’en utilisant le pouvoir de créer la monnaie, permettrait de provoquer l’inflation et la déflation de l’économie, et les grandes entreprises prendraient le contrôle. Selon les termes du député Lindbergh : “A partir de maintenant, les dépressions seront créées scientifiquement”. Et elles le sont. En 1929, les « pouvoirs du passé » ont délibérément fait chuter la bourse. Comment ? Les fluctuations des titres de la bourse sont causées par l’émotion. Avant le crash de 1929, on a créé une euphorie qui a généré une période d’inflation. Les pouvoirs aux commandes ont vendu leurs titres à prix élevé, puis créé la panique sur la baisse dans le marché. Lorsque les cours se sont effondrés, ils ont racheté leurs titres pour une bouchée de pain – et éliminé la concurrence aux abois du même coup. En bref, la Grande Dépression de 1929 a été générée artificiellement afin que les grandes entreprises qui contrôlaient la bourse puissent en profiter pour prêter aux gouvernements l’argent nécessaire pour sortir de l’effondrement qu’elles avaient provoqué. Les nations souveraines ont finalement été forcées de signer des emprunts qui, par leur nature même, ne pourraient jamais être remboursés. Et comme les dettes souveraines ne cessaient de s’accroître, le paradigme de « l’esclavage par l’endettement » a été formalisé … et les grandes entreprises ont pris le contrôle. De nos jours, les multinationales Gouvernementales continuent de feindre d’être les vrais gouvernements. Le Système des Banques centrales (qui domine actuellement les économies occidentales) continue d’alterner les périodes de ‘boom des marchés’ et de ‘dépression des marchés’ en restreignant ou relâchant stratégiquement l’émission de monnaie et de crédit. L’actuelle Crise Financière Mondiale en est un parfait exemple.
Et en même temps, les grands médias jouent leurs rôles en manipulant les humeurs de la bourse sur les marchés et en facilitant les contre-vérités politiques. Mais la campagne judiciaire complexe entreprise par l’OPPT a mené à la saisie des avoirs et propriétés du système des grandes multinationales. Toutes les sociétés privées, y compris les systèmes gouvernementaux et bancaires, ont été saisies de leurs avoirs en utilisant leurs propres mécanismes de législation/réglementation commerciale. En langage juridique, cela signifie la fin pour les anciens Trust du vieux système et le début pour les nouveaux ! Alors est-ce le « renversement du Gouvernement » ? Non – c’est le renversement des grandes multinationales qui se sont comportées comme des gouvernements. Si vous comprenez que les « Gouvernements » sont en fait des entreprises privées qui ont, par ruse, altéré les constitutions des nations souveraines, leur acte de décès était un fait programmé à venir. La fraude du gouvernement est réelle. Et finalement – par leur incapacité à réfuter les accusations basées sur le CCU (le Code de Commerce Uniforme) – l’imbrication des multinationales gouvernementales dans son ensemble se trouve coupable de fraude, de trahison et d’esclavage. En vertu du droit international, l’OPPT a le droit d’exiger la réparation par dédommagement de ces crimes. Celles-ci ont choisi la saisie de leurs avoirs et la cessation de leurs activités de grandes entreprises, banques et gouvernements en tant que responsables ainsi que la confiscation de leurs titres et avoirs des infrastructures légales – y compris l’or et l’argent détenus comme garanties par le système financier – pour les transférer entre les mains de l’OPPT. N’y pensez pas en termes de renversement, mais comme la saisie de biens usurpés. Les poursuites en justice de l’OPPT récupèrent ce qui nous appartient en tant qu’êtres souverains sur cette planète. La loi Universelle, la Common Law et le C.C.U. sont maintenant la loi applicable sur cette planète.(Je décrirai plus tard en détail les mécanismes mis en place par l’OPPT pour remplacer les fonctions de gouvernance). CCU : La bible du commerce Le C.C.U est la “bible” du commerce ; il décrit précisément la manière selon laquelle le commerce international est régi.
En fait,
l’ensemble du système commercial gravite autour du C.C.U. Si le prêt
immobilier de votre logement est saisi, via une hypothèque, ou que vous
êtes dépossédé de votre voiture, la banque utilise le mécanisme
parallèle du C.C.U pour agir. Mais
la législation du C.C.U. n’est pas enseignée dans les facultés de
droit. Elle reste le domaine des grandes entreprises privées et de
leurs dirigeants, qui forment leurs employés en contentieux du C.C.U. –
gardant ainsi la connaissance de cet instrument « en interne ». Mais un
des administrateurs d’OPPT a été amené professionnellement à utiliser
la législation du C.C.U durant un certain temps, et comprend en
profondeur comment les « pouvoirs du passé » manipulaient le C.C.U pour
contrôler le système financier américain au plus haut niveau. Experte
en C.C.U, mère et fondatrice de l’OPPT, Heather-Ann Tucci-Jarraf a
utilisé la saisie de sa propre maison comme cas d’école. Elle a
attaqué la procédure de saisie immobilière à travers le mécanisme C.C.U
et, ce faisant, a découvert – pour employer des termes simples – que la
justice américaine est toujours en faveur des multinationales. Ce qui n’est pas étonnant, vu que 99% des lois se rapportent à la propriété privée… ou au commerce. En
avançant prudemment, l’OPPT arriva à la conclusion que les entreprises
privées opérant sous le couvert des gouvernements souverains et des
systèmes financiers se rendaient coupables de trahison envers les
habitants de cette planète en l’absence de toute information connue,
volonté et consentement express de leur part.
Le rapport final de cette investigation se trouve ici . Et en l’espèce, … pour saisir le « système », les administrateurs du Trust OPPT ont tendu un piège en utilisant la structure légale qui leur était fournie PAR le « système » lui-même.Comment les administrateurs OPPT sont-ils arrivés à la saisie ? L’OPPT est géré par des administrateurs Caleb Skinner, Hollis Randall Hillner et Heather Ann Tucci-Jarraf. L’OPPT a été créé lorsque les administrateurs se sont associés – et ce faisant ont renoué – avec le Trust intégré dans les termes de la Constitution originale des Etats-Unis de 1776, laquelle constitution, fut abandonnée lorsque le gouvernement des Etats-Unis fut transformé en Multinationale Gouvernementale en 1933. L’OPPT a ensuite associé chaque individu de la planète à cette structure de Trust en tant que bénéficiaires de ses titres et propriétés, et l’a désigné « le Peuple Unique, Créé par le Créateur ». Ce faisant, les administrateurs créaient un Trust, dans le cadre légal qui a des droits supérieurs à quelconque partie – le Trust entre le Créateur et les « Êtres existants » de la Terre. Les « Êtres existants » sur Terre sont les bénéficiaires du Créateur en tant que garants des manifestations du Créateur sur Terre. Juridiquement parlant, il ne peut y avoir de proclamation supérieure à celle du One People’s Public Trust … exceptée celle émise par le Créateur lui-même. Les ressources de notre planète – spécifiées dans les actes du C.C.U. comme étant l’or et l’argent mondial – ne peuvent de ce fait être détenues, vendues contre rémunération, comptées sous forme de ‘salaire’ pour nous rendre esclaves, ou être épargnées afin de créer de la pauvreté ou déposséder. Sous l’OPPT, nous sommes tous actionnaires de titres.
Les ressources de notre planète nous appartiennent dorénavant à
chacun à parts égales. C’est notre droit de naissance. Maintenant c’est
la loi.Entre
2011 et 2012, les administrateurs ont déposé une série d’investigations
complexes au C.C.U. au nom de ses bénéficiaires. Les détails de ces
investigations de l’OPPT au C.C.U. peuvent être consultés sur leur site :
http://peoplesstrust1776.org/.
Attention : c’est une lecture juridique dense destinée à un
enregistrement et une divulgation légale officielle. Ce n’est pas
destiné à la communication de poursuites de l’OPPT contre des tiers ou
leurs conséquences sur le public. Cependant les administrateurs
travaillent directement avec la collectivité de ‘médias alternatifs’
pour être sûrs que le public reçoive une information précise, claire
et adéquate. Pour résumer ces documents :En
l’espèce, les grandes entreprises multinationales, les gouvernements et
les banques ne font qu’un, « Une Commission d’enquête et une
instruction » ont été déposées à l’encontre « du débiteur », une entité
juridique créée via le mécanisme C.C.U. régit par le Code
d’Enregistrement des sociétés. Le dépôt de plainte stipule que le
débiteur a « en toute connaissance de cause, volontairement et intentionnellement commis des actes de trahison » en « possédant, faisant fonctionner, aidant et encourageant des systèmes monétaires privés » et « en
faisant fonctionner des systèmes d’esclavage envers … des citoyens sans
les informer, contre leur volonté et leur consentement ». Les
dossiers de procédures de C.C.U. sont des données publiques, et suivent
les mécanismes de procédures juridiques classiques. Si une entité
légale fait l’objet d’une plainte, la personne morale (dans ce cas le «
débiteur ») a le droit de la contester. Si celle-ci n’est pas en mesure
d’en apporter la preuve contradictoire ou, n’est pas reçue dans un
délai imparti, il en résulte un jugement par défaut, suivi par
l’application du verdict. La conséquence est, la cessation immédiate
d’activité de cette entité légale, dans le cas présent, au motif
qu’elle a été incapable d’apporter la preuve contraire des charges de
trahison démontrées par l’OPPT. Le plus important ici, est que le jugement en culpabilité selon le C.C .U. a valeur légale immédiate s’il n’est pas démontré le contraire.
Et dans ce cas, les administrateurs de l’OPPT se sont assurés qu’ils
créaient une situation juridique dans laquelle les individus et toute
entité légale dénommée le « débiteur » n’avaient aucune capacité de démontrer le contraire. Comment ont-ils réussi ?
Toutes les charges déclarées d’esclavage et de fraudes sont vraies. Bien sûr, aucune preuve tangible de leur innocence n’a été démontrée.Le « débiteur » est de ce fait coupable de trahison.En dédommagement, les grandes entreprises sont saisies de leurs avoirs usurpés et confisqués,La richesse de notre planète est réaffectée au Trust l’OPPT. Toute dette des multinationales est effacée,Le « système » est définitivement clos. Les archives publiques le prouvent,Les dépôts et déclarations enregistrés au C.C.U. font office de Loi Internationale Selon les clauses même du système, celui-ci n’existe plus. Nous sommes libres !! Cliquer ici pour lire le communiqué de presse de l’OPPT du 4 février 2013."
Et le communiqué de presse a été censuré aussi...
La France pays des droits de l’ homme et de la liberté d’ expression...
Nous vivons une époque formidable. La fin de l’ esclavage et des esclavagistes.
Cela promet d’ être mouvementé...
13/01 13:17 - Xenozoid
isga , il est évident que l’on a dépasser le 1984 depuis longtemps,on en est dans la (...)
13/01 09:27 - velosolex
12/01 20:51 - philouie
12/01 20:49 - lsga
Orwell avait parfaitement imaginé cela, puisque Orwell décrit la réalité de son époque. La (...)
12/01 20:43 - lsga
l’ennemi n’est pas parmi nous, il est au dessus de nous : ce sont les bourgrois, (...)
12/01 20:42 - JL
En lisant le post d’Irina Leroyer je pense : tout est dit, pour qui sait lire. La (...)
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