Il faut cesser de s’aveugler sur les
organisations prétendument anti-racistes. Depuis des années elles se sont
montrées dans leurs actes beaucoup plus proches des positions du PIR (1),
lequel est avenir, comme il le proclame, et dont la très sympathique représentante
Houria disait déjà aux souchiens, en 2006, ce qui leur arrive aujourd’hui (2). Elle leur proposait :
de partir sur des bases saines. C’est là que c’est un cadeau qu’on vous fait.
Prenez-le : le discours ne vous plaît pas… mais prenez-le quand
même ! Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel ! Ne
discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez
tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le
prenez pas, demain, la société tout entière devra assumer pleinement le racisme
anti-blanc. Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça. Celui qui
n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis
1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins
paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les
autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail,
il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe
lequel, n’importe laquelle d’entre vous
(1) Parti des Indigènes de la
République
(2) Rappelé dans un article du 10
janvier du site Boulevard Voltaire titré Jeannette Bougrab accuse !
http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/jeannette-bougrab-accuse,150893